Cinquante ans après la mort de votre oncle, comment vivez-vous sa disparition?
Tout le monde a perdu quelqu’un dans sa famille. Nous avons pleuré notre père, notre parent. Sa mort nous a fait mal, mais c’est passé, nous avons pardonné. Nous n’avons rien demandé et jusqu’ présent, on a pardonné. C’est ce que nous demandons à tous les Ivoiriens, aujourd’hui. Il faut surmonter, dépasser, oublier et aller à la réconciliation. Vous savez, l’Abbey n’est pas révolutionnaire. Mais il n’aime pas qu’on se moque lui. Nous ne le permettons pas. Ce qui est arrivé à notre frère, Ernest Boka, est le fait de Dieu. Nous demandons à tous ceux qui ont perdu un être cher dans les crises du pays de laisser passer.
Que pensez-vous de la visite du président de l’Assemblée nationale chez vous?
Une haute autorité qui vient dans notre village est une fierté. C’est un honneur. C’est une joie pour nous de voir le président de l’Assemblée nationale chez nous,
Qu’est-ce que vous attendez de cette visite?
C’est d’abord une consolation pour nous. Mais il faut dire que la mort d’Ernest Boka a laissé un vide dans la famille. On ne peut pas le remplacer, nous ne pouvons pas trouver son semblable au sein de la famille. Mais ce qui nous afflige encore, c’est qu’il n’y a personne qui a un niveau honorable dans l’administration dans la famille. Si nous avions un fils qui travaillait dans la haute administration, cela nous consolerait encore plus. Mais je voudrais dire que nous avons pardonné.
Réalisé par TBO
Tout le monde a perdu quelqu’un dans sa famille. Nous avons pleuré notre père, notre parent. Sa mort nous a fait mal, mais c’est passé, nous avons pardonné. Nous n’avons rien demandé et jusqu’ présent, on a pardonné. C’est ce que nous demandons à tous les Ivoiriens, aujourd’hui. Il faut surmonter, dépasser, oublier et aller à la réconciliation. Vous savez, l’Abbey n’est pas révolutionnaire. Mais il n’aime pas qu’on se moque lui. Nous ne le permettons pas. Ce qui est arrivé à notre frère, Ernest Boka, est le fait de Dieu. Nous demandons à tous ceux qui ont perdu un être cher dans les crises du pays de laisser passer.
Que pensez-vous de la visite du président de l’Assemblée nationale chez vous?
Une haute autorité qui vient dans notre village est une fierté. C’est un honneur. C’est une joie pour nous de voir le président de l’Assemblée nationale chez nous,
Qu’est-ce que vous attendez de cette visite?
C’est d’abord une consolation pour nous. Mais il faut dire que la mort d’Ernest Boka a laissé un vide dans la famille. On ne peut pas le remplacer, nous ne pouvons pas trouver son semblable au sein de la famille. Mais ce qui nous afflige encore, c’est qu’il n’y a personne qui a un niveau honorable dans l’administration dans la famille. Si nous avions un fils qui travaillait dans la haute administration, cela nous consolerait encore plus. Mais je voudrais dire que nous avons pardonné.
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