Côte D'Ivoire - La Standard Bank envisage de s'appuyer sur sa présence en Côte d'Ivoire pour élargir son offre au reste de l'Afrique francophone, annonce un communiqué de cet établissement bancaire sud africain parvenu vendredi à APA.
Selon les responsables de cette banque, « cette zone est en effet appelée à connaître un boom des investissements dû à l'attractivité exercée sur les entreprises étrangères par les richesses minières et la croissance économique de la région ».
Standard Bank a ouvert en novembre 2013 son bureau de représentation à Abidjan en vue de servir ses 145 clients implantés en Afrique francophone dans des secteurs d'activité tels que l'exploitation minière, le pétrole et le gaz, les infrastructures, l'électricité et l'énergie, ou encore les biens de consommation à croissance rapide.
«L'Afrique de l'ouest francophone est moins connue des Sud-Africains, mais elle ne peut être ignorée compte tenu de son potentiel économique », estime Greg Goeller, responsable Afrique de l'unité corporative et d'investissement de la Standard Bank.
Selon lui, cette région possède tous les atouts pour bénéficier du prochain boom mondial dans le secteur des mines et des infrastructures, qui favorisera à son tour la croissance économique des autres branches.
Outre les pays membres de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), la Standard Bank prévoit également d'étendre ses opérations aux six nations qui composent la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) que sont le Cameroun, la Centrafrique, le Tchad, la RDC, la Guinée équatoriale et le Gabon.
La CEMAC et l'UEMOA) comptent environ 148 millions d'habitants et un Produit intérieur brut (PIB) nominal cumulé de 167 milliards de dollars.
Pour Greg Goeller, l'avantage de ces nations réside dans le fait que leur monnaie (FCFA), garantie par le Trésor public français, est adossée à l'euro.
« Cela offre beaucoup plus de stabilité aux investisseurs du point de vue du risque monétaire », explique M. Goeller.
Selon les responsables de cette banque, « cette zone est en effet appelée à connaître un boom des investissements dû à l'attractivité exercée sur les entreprises étrangères par les richesses minières et la croissance économique de la région ».
Standard Bank a ouvert en novembre 2013 son bureau de représentation à Abidjan en vue de servir ses 145 clients implantés en Afrique francophone dans des secteurs d'activité tels que l'exploitation minière, le pétrole et le gaz, les infrastructures, l'électricité et l'énergie, ou encore les biens de consommation à croissance rapide.
«L'Afrique de l'ouest francophone est moins connue des Sud-Africains, mais elle ne peut être ignorée compte tenu de son potentiel économique », estime Greg Goeller, responsable Afrique de l'unité corporative et d'investissement de la Standard Bank.
Selon lui, cette région possède tous les atouts pour bénéficier du prochain boom mondial dans le secteur des mines et des infrastructures, qui favorisera à son tour la croissance économique des autres branches.
Outre les pays membres de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), la Standard Bank prévoit également d'étendre ses opérations aux six nations qui composent la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) que sont le Cameroun, la Centrafrique, le Tchad, la RDC, la Guinée équatoriale et le Gabon.
La CEMAC et l'UEMOA) comptent environ 148 millions d'habitants et un Produit intérieur brut (PIB) nominal cumulé de 167 milliards de dollars.
Pour Greg Goeller, l'avantage de ces nations réside dans le fait que leur monnaie (FCFA), garantie par le Trésor public français, est adossée à l'euro.
« Cela offre beaucoup plus de stabilité aux investisseurs du point de vue du risque monétaire », explique M. Goeller.