Le président du Conseil régional du Sud-Comoé, Aka Aouélé et le ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Raymonde Goudou ont inauguré le Centre de santé de Kouakro vendredi dernier.
Le Conseil régional du Sud-Comoé est au travail. Elu depuis le 21 avril 2013, ce Conseil dirigé par le ministre Aka Aouélé travaille sans relâche pour le développement de la région qu’il dirige, pour le grand bonheur des populations qui lui ont accordé leurs suffrages. Ainsi, Kouakro, village situé dans le département de Maféré (Aboisso) a connu une ambiance particulière le vendredi 9 mai 2014. Ce jour marquait l’inauguration du Centre de santé urbain de Kouakro. Un village traditionnellement considéré comme le cœur des us et coutumes du peuple Sanwi. « Cette cérémonie signe la célébration de l’accessibilité des populations aux centres de santé. C'est-à-dire la prise en considération du premier droit de l’homme. Le droit à la santé. C’est le lieu de la collectivité de se féliciter de la couverture totale du département en matière de centres de santé. L’ouverture à la rentrée prochaine du Collège moderne de Kouakro. Cela prouve que l’Etat et les collectivités sont en train de jouer leur partition. La balle est dans le camp des bonnes volontés d’ici et d’ailleurs. On peut conclure que Kouakro est dans le plan du développement enclenché par l’Etat. Ce, à travers l’administration déconcentrée et les collectivités à travers le Conseil régional. Il reste aux populations de jouer effectivement et pleinement le leur. Parce que tout développement, du reste durable, doit être participatif. La nouvelle approche du développement implique la pleine participation des populations. Notamment des cadres qui ont donc l’impérieux devoir de prendre des initiatives et actions de développement engagées. Parce qu’à la vérité, nul ne fera notre bonheur à notre place. L’avenir de notre communauté dépend de la capacité à développer. C’est cela notre salut et non nos positions politiques », a laissé entendre le président du Conseil régional, Aka Aouélé. Il a remercié le ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Raymonde Goudou. « Mme le ministre, votre venue à cette cérémonie d’inauguration a valeur de symbole. En ce qu’elle constitue votre première sortie dans le département d’Aboisso, ici dans le Sanwi. Je tiens à vous rendre un hommage appuyé pour n’avoir ménagé aucun effort pour venir présider personnellement cette cérémonie. En vous déplaçant jusqu’à nous, vous donnez encore la preuve de votre ferme engagement à œuvrer pour un système sanitaire performant, accessible et adapté aux besoins des populations tant rurales qu’urbaines ». Avant de rendre hommage à des pionniers, tels Germain Koffi Gadeau qui a posé la première pierre du centre de santé, le ministre Maurice Kakou Guikahué qui a eu l’initiative de sa construction et tous les élus locaux qui ont participé à sa construction. Également à feu Ehoulé Basile qui est en l’initiateur et au Conseil régional qui a réussi à achever les travaux de la construction de ce joyau avec un budget additionnel de 60.950.211 FCFA. De son côté, le ministre Raymonde Goudou s’est réjouie d’être à l’inauguration dudit centre de santé où elle s’est rendue avec les mains chargées d’équipements sanitaires. « Je suis fière d’être ici pour remettre officiellement au nom du Gouvernement, du Président Alassane Ouattara et Daniel Kablan Dunkan, cette structure sanitaire aux populations vaillantes de Kouakro. Une des politiques essentielles du Président Ouattara, est de rapprocher les structures sanitaires des populations. C’est donc une vaste campagne de proximité. C’est ce qui a suscité mon intérêt et ma venue à Kouakro », a-t-elle fait savoir.
Les réalisations en un an
Le Conseil régional du Sud-Comoé n’a pas fait dans la dentelle depuis son élection en avril 2013 au niveau de la santé. Après seulement un an (9 mai 2013-9 mai 2013), le Conseil régional dirigé par Aka Aouélé a soit réhabilté, soit achevé ou construit des centres de santé, des maternités, des dispensaires dans 17 localités. A savoir Affiénou, Koffikro Baffia, Namienlessa, M’Possa, Appousso, Mouyassué, Toumanguié village, N’Zikro, Djémissikro, Aby. En plus de cela, le Conseil a offert des équipements bio-médicaux à quatre formations sanitaires, notamment Kouakoukro Limite, Babadougou, Djemissikro, Ebikro-N’Dakro. Tout cela pour un coût de 709.540.000 FCFA.
Francis Aké
Envoyé spécial
Le Conseil régional du Sud-Comoé est au travail. Elu depuis le 21 avril 2013, ce Conseil dirigé par le ministre Aka Aouélé travaille sans relâche pour le développement de la région qu’il dirige, pour le grand bonheur des populations qui lui ont accordé leurs suffrages. Ainsi, Kouakro, village situé dans le département de Maféré (Aboisso) a connu une ambiance particulière le vendredi 9 mai 2014. Ce jour marquait l’inauguration du Centre de santé urbain de Kouakro. Un village traditionnellement considéré comme le cœur des us et coutumes du peuple Sanwi. « Cette cérémonie signe la célébration de l’accessibilité des populations aux centres de santé. C'est-à-dire la prise en considération du premier droit de l’homme. Le droit à la santé. C’est le lieu de la collectivité de se féliciter de la couverture totale du département en matière de centres de santé. L’ouverture à la rentrée prochaine du Collège moderne de Kouakro. Cela prouve que l’Etat et les collectivités sont en train de jouer leur partition. La balle est dans le camp des bonnes volontés d’ici et d’ailleurs. On peut conclure que Kouakro est dans le plan du développement enclenché par l’Etat. Ce, à travers l’administration déconcentrée et les collectivités à travers le Conseil régional. Il reste aux populations de jouer effectivement et pleinement le leur. Parce que tout développement, du reste durable, doit être participatif. La nouvelle approche du développement implique la pleine participation des populations. Notamment des cadres qui ont donc l’impérieux devoir de prendre des initiatives et actions de développement engagées. Parce qu’à la vérité, nul ne fera notre bonheur à notre place. L’avenir de notre communauté dépend de la capacité à développer. C’est cela notre salut et non nos positions politiques », a laissé entendre le président du Conseil régional, Aka Aouélé. Il a remercié le ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Raymonde Goudou. « Mme le ministre, votre venue à cette cérémonie d’inauguration a valeur de symbole. En ce qu’elle constitue votre première sortie dans le département d’Aboisso, ici dans le Sanwi. Je tiens à vous rendre un hommage appuyé pour n’avoir ménagé aucun effort pour venir présider personnellement cette cérémonie. En vous déplaçant jusqu’à nous, vous donnez encore la preuve de votre ferme engagement à œuvrer pour un système sanitaire performant, accessible et adapté aux besoins des populations tant rurales qu’urbaines ». Avant de rendre hommage à des pionniers, tels Germain Koffi Gadeau qui a posé la première pierre du centre de santé, le ministre Maurice Kakou Guikahué qui a eu l’initiative de sa construction et tous les élus locaux qui ont participé à sa construction. Également à feu Ehoulé Basile qui est en l’initiateur et au Conseil régional qui a réussi à achever les travaux de la construction de ce joyau avec un budget additionnel de 60.950.211 FCFA. De son côté, le ministre Raymonde Goudou s’est réjouie d’être à l’inauguration dudit centre de santé où elle s’est rendue avec les mains chargées d’équipements sanitaires. « Je suis fière d’être ici pour remettre officiellement au nom du Gouvernement, du Président Alassane Ouattara et Daniel Kablan Dunkan, cette structure sanitaire aux populations vaillantes de Kouakro. Une des politiques essentielles du Président Ouattara, est de rapprocher les structures sanitaires des populations. C’est donc une vaste campagne de proximité. C’est ce qui a suscité mon intérêt et ma venue à Kouakro », a-t-elle fait savoir.
Les réalisations en un an
Le Conseil régional du Sud-Comoé n’a pas fait dans la dentelle depuis son élection en avril 2013 au niveau de la santé. Après seulement un an (9 mai 2013-9 mai 2013), le Conseil régional dirigé par Aka Aouélé a soit réhabilté, soit achevé ou construit des centres de santé, des maternités, des dispensaires dans 17 localités. A savoir Affiénou, Koffikro Baffia, Namienlessa, M’Possa, Appousso, Mouyassué, Toumanguié village, N’Zikro, Djémissikro, Aby. En plus de cela, le Conseil a offert des équipements bio-médicaux à quatre formations sanitaires, notamment Kouakoukro Limite, Babadougou, Djemissikro, Ebikro-N’Dakro. Tout cela pour un coût de 709.540.000 FCFA.
Francis Aké
Envoyé spécial