Le rapport dénommé Global status report on alcohol and health 2014 sur la consommation de l’alcool dans le monde, produit par l’Organisation mondiale de la santé (Oms) fait froid dans le dos. 3,3 millions de personnes tuées seulement au cours de l’année 2012. Ce chiffre a été rendu public, hier lundi 12 mai, par cette institution sanitaire mondiale.
Selon cette organisation, l’alcool tue plus que le sida, la tuberculose et les violences de toutes sortes. D’après ce rapport, l’alcool est à la base de plusieurs maladies dont la tuberculose, la cirrhose du foie, les cancers, les maladies cardiovasculaires, le diabète, les troubles mentaux etc. C’est au total plus de 200 maladies qui sont liées à la consommation de l’alcool, selon l’Oms. Les personnes les plus touchées sont les jeunes dont l’âge varie de 20 à 39 ans.
Selon Oleg Chestnov, sous-directeur du Groupe Maladies non transmissibles à l’Oms, ce bilan pourrait s’alourdir, si des politiques de prévention supplémentaires ne sont pas mises en place d’autant plus que la population mondiale augmente. Ce rapport indique également que les groupes aux plus bas revenus, sont davantage touchés par les conséquences sociales et médicales de l’alcool. Car, ils manquent souvent de services de santé de qualité et sont moins protégés par leurs réseaux familiaux ou sociaux.
C’est donc pour cette raison que l’Oms somme une nouvelle fois les pouvoir publics, à agir pour protéger la population. En tête des bonnes pratiques, l’organisation cite la hausse des taxes sur l’alcool, la fixation d’un âge limite de consommation ou la réglementation de l’étiquetage et de la publicité. Mais aussi et surtout l’information.
Paul Kouakou (Stagiaire)
Selon cette organisation, l’alcool tue plus que le sida, la tuberculose et les violences de toutes sortes. D’après ce rapport, l’alcool est à la base de plusieurs maladies dont la tuberculose, la cirrhose du foie, les cancers, les maladies cardiovasculaires, le diabète, les troubles mentaux etc. C’est au total plus de 200 maladies qui sont liées à la consommation de l’alcool, selon l’Oms. Les personnes les plus touchées sont les jeunes dont l’âge varie de 20 à 39 ans.
Selon Oleg Chestnov, sous-directeur du Groupe Maladies non transmissibles à l’Oms, ce bilan pourrait s’alourdir, si des politiques de prévention supplémentaires ne sont pas mises en place d’autant plus que la population mondiale augmente. Ce rapport indique également que les groupes aux plus bas revenus, sont davantage touchés par les conséquences sociales et médicales de l’alcool. Car, ils manquent souvent de services de santé de qualité et sont moins protégés par leurs réseaux familiaux ou sociaux.
C’est donc pour cette raison que l’Oms somme une nouvelle fois les pouvoir publics, à agir pour protéger la population. En tête des bonnes pratiques, l’organisation cite la hausse des taxes sur l’alcool, la fixation d’un âge limite de consommation ou la réglementation de l’étiquetage et de la publicité. Mais aussi et surtout l’information.
Paul Kouakou (Stagiaire)