La présidente de la commission développement de l’entreprenariat féminin (CDEF) au sein de la confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Mme Touré Massogbè a révélé, lundi, à l’ouverture de la première édition des journées de l’entreprenariat féminin (JEF 2014) que seulement 15% des créateurs d’entreprise sont des femmes.
"Officiellement, en Côte d’Ivoire, seulement 15% des créateurs d’entreprise sont des femmes", a dit Mme Touré indiquant que malheureusement la grande majorité des femmes entrepreneures ivoiriennes sont des "actrices involontaires" du secteur informel.
La présidente de la CDEF s’est offusquée de ce que les femmes qui osent créer des entreprises se limitent trop souvent à développer leurs activités dans les domaines liés aux services tels que le commerce de détail, la production et la vente de produits vivriers, les services éducatifs, le conseil et l’artisanat.
"Il s’avère donc nécessaire d’apporter l’assistance et l’appui nécessaires non seulement pour permettre de développer des entreprises dans tous les secteurs d’activités mais aussi de les former à structurer leurs affaires, afin de leur assurer une autonomisation économique et financière", a dit Mme Touré pour justifier l’initiation de ces journées.
Le président de la CGECI, le patronat ivoirien, Jean Kacou Diagou a invité les femmes à sortir du secteur informel.
"Les femmes sont plus compétentes que les hommes", a affirmé le président de la CGECI qui a assuré que des études ont montré que les entreprises gérées par des femmes sont plus rentables que celles gérées par des hommes.
Il a exhorté les femmes à adhérer à la CDEF, afin de se retrouver dans un cadre qui permettra de créer les conditions d’un meilleur développement de l’entreprenariat féminin.
"Que les femmes passent de l’informel au formel pour créer de l’emploi, de la richesse pour le développement de la Côte d’Ivoire", a-t-il indiqué.
Durant deux jours, plusieurs thèmes seront abordés lors d'ateliers promotionnels ouverts au grand public.
kkf/ask
"Officiellement, en Côte d’Ivoire, seulement 15% des créateurs d’entreprise sont des femmes", a dit Mme Touré indiquant que malheureusement la grande majorité des femmes entrepreneures ivoiriennes sont des "actrices involontaires" du secteur informel.
La présidente de la CDEF s’est offusquée de ce que les femmes qui osent créer des entreprises se limitent trop souvent à développer leurs activités dans les domaines liés aux services tels que le commerce de détail, la production et la vente de produits vivriers, les services éducatifs, le conseil et l’artisanat.
"Il s’avère donc nécessaire d’apporter l’assistance et l’appui nécessaires non seulement pour permettre de développer des entreprises dans tous les secteurs d’activités mais aussi de les former à structurer leurs affaires, afin de leur assurer une autonomisation économique et financière", a dit Mme Touré pour justifier l’initiation de ces journées.
Le président de la CGECI, le patronat ivoirien, Jean Kacou Diagou a invité les femmes à sortir du secteur informel.
"Les femmes sont plus compétentes que les hommes", a affirmé le président de la CGECI qui a assuré que des études ont montré que les entreprises gérées par des femmes sont plus rentables que celles gérées par des hommes.
Il a exhorté les femmes à adhérer à la CDEF, afin de se retrouver dans un cadre qui permettra de créer les conditions d’un meilleur développement de l’entreprenariat féminin.
"Que les femmes passent de l’informel au formel pour créer de l’emploi, de la richesse pour le développement de la Côte d’Ivoire", a-t-il indiqué.
Durant deux jours, plusieurs thèmes seront abordés lors d'ateliers promotionnels ouverts au grand public.
kkf/ask