San Pedro – La Première Dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, a exhorté samedi à San Pedro les producteurs de café et de cacao à éviter le travail des enfants dans leurs plantations, au risque de nuire à au fruit de leur labeur et à l'image de la Côte d'Ivoire.
Mme Ouattara a fait cette interpellation à l'occasion de la rencontre de sensibilisation et d'échanges initié par le Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l'exploitation et le travail des enfants (CNS) dont elle assure la présidence avec les producteurs de café-cacao.
"J'invite donc chacune et chacun d'entre vous à veiller à ne pas utiliser les enfants comme main d'œuvre dans les plantations, car, cela peut nuire au fruit de votre travail et à l'image de la Côte d'Ivoire", a conseillé la présidente du CNS.
Elle a expliqué que le travail du CNS a pour but d'aider les planteurs et non "d'empêcher les enfants d'apprendre le métier de leurs parents, mais plutôt, de leur permettre d'aller d'abord à l'école".
La Première Dame et le ministre de l'Agriculture, Coulibaly Sangafowa, ont rappelé que ces efforts de sensibilisation et d'information des paysans sont nécessaires parce qu'en 2011, au moment où le président Ouattara arrivait au pouvoir, l'économie cacaoyère de la Côte d'Ivoire était sous une forte menace d'embargo, du fait des dénonciations des pires formes de travail des enfants dans les plantations ivoiriennes.
Le ministre Coulibaly Sangafowa a salué l'action de Mme Dominique Ouattara dont l'implication personnelle, à travers les actions menées par le CNS, a fait passer la Côte Ivoire "d'une situation sous surveillance à celle des pays qui font des efforts dans le sens de la conformité aux normes de la Tracking victims protection".
Selon le président du comité interministériel, le ministre d'Etat Dosso Moussa, "c'est de notre responsabilité à tous de faire en sorte que tous les enfants, sans exclusive, les nationaux comme les étrangers, aient le droit à l'éducation, à la santé et au bien-être".
La Première Dame a insisté auprès des planteurs, afin de parvenir à cette lutte contre le travail des enfants et donner davantage de noblesse au travail des producteurs et de notoriété à la Côte d'Ivoire et à son cacao.
Jmk/kp
Mme Ouattara a fait cette interpellation à l'occasion de la rencontre de sensibilisation et d'échanges initié par le Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l'exploitation et le travail des enfants (CNS) dont elle assure la présidence avec les producteurs de café-cacao.
"J'invite donc chacune et chacun d'entre vous à veiller à ne pas utiliser les enfants comme main d'œuvre dans les plantations, car, cela peut nuire au fruit de votre travail et à l'image de la Côte d'Ivoire", a conseillé la présidente du CNS.
Elle a expliqué que le travail du CNS a pour but d'aider les planteurs et non "d'empêcher les enfants d'apprendre le métier de leurs parents, mais plutôt, de leur permettre d'aller d'abord à l'école".
La Première Dame et le ministre de l'Agriculture, Coulibaly Sangafowa, ont rappelé que ces efforts de sensibilisation et d'information des paysans sont nécessaires parce qu'en 2011, au moment où le président Ouattara arrivait au pouvoir, l'économie cacaoyère de la Côte d'Ivoire était sous une forte menace d'embargo, du fait des dénonciations des pires formes de travail des enfants dans les plantations ivoiriennes.
Le ministre Coulibaly Sangafowa a salué l'action de Mme Dominique Ouattara dont l'implication personnelle, à travers les actions menées par le CNS, a fait passer la Côte Ivoire "d'une situation sous surveillance à celle des pays qui font des efforts dans le sens de la conformité aux normes de la Tracking victims protection".
Selon le président du comité interministériel, le ministre d'Etat Dosso Moussa, "c'est de notre responsabilité à tous de faire en sorte que tous les enfants, sans exclusive, les nationaux comme les étrangers, aient le droit à l'éducation, à la santé et au bien-être".
La Première Dame a insisté auprès des planteurs, afin de parvenir à cette lutte contre le travail des enfants et donner davantage de noblesse au travail des producteurs et de notoriété à la Côte d'Ivoire et à son cacao.
Jmk/kp
