La Première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara a remis, vendredi 12 décembre, 230 hectares de semences d’une dizaine de cultures vivrières, accompagnées de produits phytosanitaires et de matériels de travail agricole estimés à près de 140 millions de FCFA, à des groupements, associations et coopératives de femmes de la filière du vivrier issus de toutes les contrées de la Côte d’Ivoire. C’était au cours d’une cérémonie organisée par le District d’Abidjan au le Palais de la Culture de Treichville.
L’épouse du Président de la République a indiqué que ces produits agricoles sont destinés « à accroitre la productivité et à améliorer les revenus » des bénéficiaires.
Cette initiative va contribuer selon le Gouverneur du District d’Abidjan, M. Beugré Mambé, à vaincre la malnutrition, à renforcer la sécurité alimentaire dans le pays et à participer à l’autonomisation des femmes.
Autant d’actions qui accompagnent le Gouvernement dans la mise en œuvre du Plan national d’investissement agricole (PNIA), a fait remarquer le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Jean Claude Brou qui représentait son homologue de l’Agriculture.
M. Brou a fait savoir que la qualité des semences offertes ce jour, reconnue par les scientifiques et approuvée par les États africains, devrait permettre de faire passer de 30 à 40%, la productivité des cultures vivrières concernées.
L’épouse du Président de la République a indiqué que ces produits agricoles sont destinés « à accroitre la productivité et à améliorer les revenus » des bénéficiaires.
Cette initiative va contribuer selon le Gouverneur du District d’Abidjan, M. Beugré Mambé, à vaincre la malnutrition, à renforcer la sécurité alimentaire dans le pays et à participer à l’autonomisation des femmes.
Autant d’actions qui accompagnent le Gouvernement dans la mise en œuvre du Plan national d’investissement agricole (PNIA), a fait remarquer le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Jean Claude Brou qui représentait son homologue de l’Agriculture.
M. Brou a fait savoir que la qualité des semences offertes ce jour, reconnue par les scientifiques et approuvée par les États africains, devrait permettre de faire passer de 30 à 40%, la productivité des cultures vivrières concernées.