Après avoir réalisé des performances dans le cadre du Doing-Business au cours de l’année en cours, le gouvernement ivoirien veut continuer sur cette lancée. C’est dans cette veine que le Cepici (Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire) a initié 14 réformes.
Désormais, la Côte d’Ivoire a décidé de demeurer au rang des pays qui souhaitent protéger les investisseurs. Cette volonté se justifie par la réalisation de 14 réformes d’envergure par le Cepici au cours de cette année. Contrairement à l’année 2013 au cours de laquelle, le centre n’avait réalisé que quatre réformes qui avait permis à la Côte d’Ivoire d’être classée 10e au niveau du Doing-Business. Au nombre des réformes réalisées en 2014, l’on peut citer la publication de l’avis de constitution qui est désormais gratuit sur le site web du Cepici, la réduction des coûts administratifs de création pour les sociétés commerciales au capital de 10 millionsde Fcfa maximum, la réduction des délais de création d’entreprise au guichet unique du centre qui passe de 48h à 24h, la levée de l’obligation de passage chez le notaire pour l’établissement des actes de constitution pour les sociétés de type Sarl, ainsi que la levée de l’exigence du capital minimum pour les sociétés de type Sarl. Ainsi, il est désormais laissé libre court aux entrepreneurs de fixer le montant de leur capital. Selon Essis Emmanuel, Directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire, ces réformes s’inscrivent dans la vision du Président de la République de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. D’autant plus que, pour lui, « l’émergence n’est pas une utopie ». C’est pourquoi Essis Emmanuel, à travers le Cepici, veut contribuer à la croissance économique du pays. Toute chose qui, selon lui, passe par la mise en confiance des investisseurs. Faut-il le noter, c’est le 30 janvier 2014 que le Conseil des ministres de l’Ohada a adopté l’Acte uniforme revisé relatif au Droit des Sociétés commerciales et du Groupement d’intérêt économique. En vigueur depuis le 05 mai 2014, cet Acte institue de nouvelles règles juridiques relatives à la protection des investisseurs. Il améliore, dans la même veine, le fonctionnement des sociétés commerciales, l’indice de divulgation des informations et celui relatif à l’étendue de la responsabilité des dirigeants. Bien entendu, la Côte d’Ivoire ne veut pas se mettre en marge de cette amélioration de l’environnement des affaires. Toute chose qui explique aisément les prouesses réalisées par le Cepici en matière de réalisation de réformes.
F.Kouamé
Désormais, la Côte d’Ivoire a décidé de demeurer au rang des pays qui souhaitent protéger les investisseurs. Cette volonté se justifie par la réalisation de 14 réformes d’envergure par le Cepici au cours de cette année. Contrairement à l’année 2013 au cours de laquelle, le centre n’avait réalisé que quatre réformes qui avait permis à la Côte d’Ivoire d’être classée 10e au niveau du Doing-Business. Au nombre des réformes réalisées en 2014, l’on peut citer la publication de l’avis de constitution qui est désormais gratuit sur le site web du Cepici, la réduction des coûts administratifs de création pour les sociétés commerciales au capital de 10 millionsde Fcfa maximum, la réduction des délais de création d’entreprise au guichet unique du centre qui passe de 48h à 24h, la levée de l’obligation de passage chez le notaire pour l’établissement des actes de constitution pour les sociétés de type Sarl, ainsi que la levée de l’exigence du capital minimum pour les sociétés de type Sarl. Ainsi, il est désormais laissé libre court aux entrepreneurs de fixer le montant de leur capital. Selon Essis Emmanuel, Directeur général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire, ces réformes s’inscrivent dans la vision du Président de la République de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. D’autant plus que, pour lui, « l’émergence n’est pas une utopie ». C’est pourquoi Essis Emmanuel, à travers le Cepici, veut contribuer à la croissance économique du pays. Toute chose qui, selon lui, passe par la mise en confiance des investisseurs. Faut-il le noter, c’est le 30 janvier 2014 que le Conseil des ministres de l’Ohada a adopté l’Acte uniforme revisé relatif au Droit des Sociétés commerciales et du Groupement d’intérêt économique. En vigueur depuis le 05 mai 2014, cet Acte institue de nouvelles règles juridiques relatives à la protection des investisseurs. Il améliore, dans la même veine, le fonctionnement des sociétés commerciales, l’indice de divulgation des informations et celui relatif à l’étendue de la responsabilité des dirigeants. Bien entendu, la Côte d’Ivoire ne veut pas se mettre en marge de cette amélioration de l’environnement des affaires. Toute chose qui explique aisément les prouesses réalisées par le Cepici en matière de réalisation de réformes.
F.Kouamé