Abidjan (Côte d'Ivoire) - L’Agence nationale du développement rural (ANADER) et la région du Bélier (230 km au Centre) ont paraphé, mercredi, un protocole d’accord visant à développer les produits vivriers en vue de la réduction de la pauvreté dans cette partie de la Côte d’Ivoire.
«Nous pensons qu'à côté des cultures pérennes, nous devons développer le vivrier. On parle de cherté de la vie mais si nous produisons beaucoup, il y'aura suffisamment de produits sur le marché et cela va contribuer à réguler le prix sur les marchés », a déclaré le Président du conseil régional du Bélier, Jeannot Kouadio Ahoussou, reconnaissant « l'inorganisation » des paysans de la région.
Pour M. Ahoussou, l'organisation des paysans en coopératives est plus qu'impérative pour les « accompagner et leur donner les règles modernes de gestion d'une activité agricole », en s'appuyant sur le Centre national de recherche agronomique (CNRA) pour la recherche et l'ANADER pour l'accompagnement » a-t-il ajouté après la signature de l'accord.
Pour sa part, le directeur général de l'ANADER, Dr Sidiki Cissé, s'est félicité de cette collaboration naissante avec la région du Bélier qui couvre quatre départements du centre ivoirien.
« La Cote d'Ivoire sera obligée d'être le grenier de la sous-région car c'est ici que les gens viendront chercher à manger, alors mieux vaut prévenir que guérir et c'est le sens de ce partenariat »,a souligné Dr Cissé.
Les cultures vivrières occupent plus de 2 300 000 actifs agricoles, majoritairement, féminins qui cultivent plus de 2 400 000 d'hectares par an, produisant 11.000.000 de tonnes.
Ces produits vivriers viennent en tête de toutes les productions agricoles du pays pour un chiffre d'affaires de plus de 800 milliards de FCFA soit 8% du Produit intérieur brut (PIB). Un taux cependant, loin d'assurer l'autosuffisance alimentaire en Côte d'Ivoire où l'agriculture demeure toutefois le moteur l'économie.
«Nous pensons qu'à côté des cultures pérennes, nous devons développer le vivrier. On parle de cherté de la vie mais si nous produisons beaucoup, il y'aura suffisamment de produits sur le marché et cela va contribuer à réguler le prix sur les marchés », a déclaré le Président du conseil régional du Bélier, Jeannot Kouadio Ahoussou, reconnaissant « l'inorganisation » des paysans de la région.
Pour M. Ahoussou, l'organisation des paysans en coopératives est plus qu'impérative pour les « accompagner et leur donner les règles modernes de gestion d'une activité agricole », en s'appuyant sur le Centre national de recherche agronomique (CNRA) pour la recherche et l'ANADER pour l'accompagnement » a-t-il ajouté après la signature de l'accord.
Pour sa part, le directeur général de l'ANADER, Dr Sidiki Cissé, s'est félicité de cette collaboration naissante avec la région du Bélier qui couvre quatre départements du centre ivoirien.
« La Cote d'Ivoire sera obligée d'être le grenier de la sous-région car c'est ici que les gens viendront chercher à manger, alors mieux vaut prévenir que guérir et c'est le sens de ce partenariat »,a souligné Dr Cissé.
Les cultures vivrières occupent plus de 2 300 000 actifs agricoles, majoritairement, féminins qui cultivent plus de 2 400 000 d'hectares par an, produisant 11.000.000 de tonnes.
Ces produits vivriers viennent en tête de toutes les productions agricoles du pays pour un chiffre d'affaires de plus de 800 milliards de FCFA soit 8% du Produit intérieur brut (PIB). Un taux cependant, loin d'assurer l'autosuffisance alimentaire en Côte d'Ivoire où l'agriculture demeure toutefois le moteur l'économie.