Sassandra – Le Fonds des Nations-unies pour la population (UNFPA) a organisé, du 12 au 27 mai, une session de renforcement des capacités des agents de l’hôpital général de Sassandra (Sud-ouest), dans le cadre de la politique de qualité instaurée par les dirigeants de cet hôpital depuis 2007.
Déclinée en trois axes, cette formation vise à améliorer la qualité des prestations dans les services de santé de la reproduction et de la planification familiale, a indiqué le directeur de l’hôpital, Kissiédou N’Guessan.
Il s’agissait aussi de doter les services de matériel et d’équipement, de renforcer les capacités du personnel en gestion, de collecter les activités, les ressources et les données dans la description des tâches, d’intégrer les services pour parvenir à l’instauration d’un système de référence, de contre-référence et de suivi-évaluation.
Durant 15 jours, le personnel et l'administration ont analysé la situation sanitaire dans le pays et dans le district de Sassandra. Ils ont aussi fait un plaidoyer à l’endroit des autorités et adopté le principe d’une journée de la salubrité.
Le ratio de la mortalité maternelle s’élève à 614 décès pour 100.000 naissances. Outre les hémorragies, les dystocies, les éclampsies et les autres complications des grossesses, cette forte mortalité traduit une insuffisance de la couverture des services de santé sexuelle et reproductive.
Dr Delphin Koffi du district sanitaire de Sassandra a souhaité que les élus et les autorités administratives de la région du Gbôklè appuient la réorganisation des services par l’intégration du volet sanitaire dans leurs programmes de développement et la sensibilisation des populations à la fréquentation des structures sanitaires.
Toujours selon M. Koffi, la promotion de la gratuité ciblée pour lever la barrière financière à l’accès aux soins, la construction de centres de santé dans les zones inaccessibles ou encore la dotation du district en ambulances devraient "ouvrir le chemin à une maternité à moindre risque".
Le secrétaire général 1 de la préfecture, représentant le préfet, a assuré les agents de tout l’appui des autorités préfectorales pour répondre à leurs attentes.
Une journée de la salubrité organisée au sein de l’hôpital a permis de nettoyer et de désinfecter la cour et les salles de soin.
(AIP)
iv/aaa/kkp/ask
Déclinée en trois axes, cette formation vise à améliorer la qualité des prestations dans les services de santé de la reproduction et de la planification familiale, a indiqué le directeur de l’hôpital, Kissiédou N’Guessan.
Il s’agissait aussi de doter les services de matériel et d’équipement, de renforcer les capacités du personnel en gestion, de collecter les activités, les ressources et les données dans la description des tâches, d’intégrer les services pour parvenir à l’instauration d’un système de référence, de contre-référence et de suivi-évaluation.
Durant 15 jours, le personnel et l'administration ont analysé la situation sanitaire dans le pays et dans le district de Sassandra. Ils ont aussi fait un plaidoyer à l’endroit des autorités et adopté le principe d’une journée de la salubrité.
Le ratio de la mortalité maternelle s’élève à 614 décès pour 100.000 naissances. Outre les hémorragies, les dystocies, les éclampsies et les autres complications des grossesses, cette forte mortalité traduit une insuffisance de la couverture des services de santé sexuelle et reproductive.
Dr Delphin Koffi du district sanitaire de Sassandra a souhaité que les élus et les autorités administratives de la région du Gbôklè appuient la réorganisation des services par l’intégration du volet sanitaire dans leurs programmes de développement et la sensibilisation des populations à la fréquentation des structures sanitaires.
Toujours selon M. Koffi, la promotion de la gratuité ciblée pour lever la barrière financière à l’accès aux soins, la construction de centres de santé dans les zones inaccessibles ou encore la dotation du district en ambulances devraient "ouvrir le chemin à une maternité à moindre risque".
Le secrétaire général 1 de la préfecture, représentant le préfet, a assuré les agents de tout l’appui des autorités préfectorales pour répondre à leurs attentes.
Une journée de la salubrité organisée au sein de l’hôpital a permis de nettoyer et de désinfecter la cour et les salles de soin.
(AIP)
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