Après une accalmie de deux mois, Ebola s’est réveillé en Siéra Léone. Toute chose permettant d’apprécier à sa juste valeur, la sensibilisation menée par Raymonde Goudou, la Ministre de la santé et de la lutte contre le sida.
‘’Or donc, notre Ministre a bien fait de ne pas baisser la garde, dans la sensibilisation des populations contre le virus Ebola’’. Cette remarque meuble les échanges, depuis qu’Ebola est sorti de son coma. Comme il fallait s’y attendre, le terrible virus Ebola s’est réveillé quelque part d’autre, après deux mois de sommeil. Cette fois, c’est la Sierra Leone qui a eu la malchance d’accueillir le retour de ce méchant virus qui a déjà fait des ravages en Guinée Conakry. Les populations ont donc raison de ce ravir que la Ministre de la santé ait maintenu la sensibilisation. Depuis le début, la Côte d’Ivoire est sur le qui vive, en prenant toutes les mesures préventives, même quant Ebola avait donné l’impression d’avoir été vaincu. C’est le lieu de féliciter la Ministre de la santé, Raymonde Goudou. Depuis le début, elle lutte sans relâche pour éviter que ce virus n’atteigne la Côte d’Ivoire. Raymonde Goudou n’a en aucun moment baissé la garde. Cette lutte sans merci donne pour le moment des fruits, étant donné que par la grâce de Dieu, aucun cas n’a encore été déclaré en Côte d’Ivoire. La nation toute entière doit continuer de se mobiliser, afin que nos personnels de santé aient les moyens de continuer cette lutte salutaire contre Ebola. Toutes les composantes de la nation doivent être mises à contribution, afin que le message parvienne aux périphéries des villes et villages. Les chefs coutumiers et religieux, les ONG, les associations, les mutuelles de développement, les syndicats etc. Tout le monde doit se sentir concerné, parce que cette lutte est une cause nationale. L’Etat ne doit lésiner sur aucun moyen, afin que les structures et personnels de santé ne manquent pas de moyens. Rien ne doit être négligé ni retardé, afin que la Côte d’Ivoire soit épargnée à jamais par Ebola.
Il faut contrôler l’immigration massive
Depuis la Présidentielle de 2010, la Côte d’Ivoire est redevenue le point convergent du flux migratoire sous-régional. De partout, les populations viennent, à la recherche d’un mieux-être socioéconomique. Les avions, les trains, les cars et les pirogues sont tous bourrés, et dirigés vers la Côte d’Ivoire. C’est la rançon de la positive métamorphose que subit ce pays. La normalisation de la situation sociopolitique ivoirienne a rendu la Côte d’Ivoire fréquentable à nouveau, ce qui est une bonne chose. Mais il faut veiller sur ce flux migratoire, dans la mesure où il est à présent susceptible de favoriser l’apparition des virus tel Ebola. Les quartiers précaires et les bidonvilles reçoivent tellement de monde, qu’il y a lieu d’y veiller. Sans le vouloir, des personnes immigreront en Côte d’Ivoire alors qu’atteintes par le virus. Le brassage aidant, ces personnes sont susceptibles de propager ce virus dans leurs entourages. Les actions de proximité doivent s’amplifier, afin que les populations évitent la cohabitation trop accentuée. Il faut interdire les embrassades, les salutations avec poignées de mains, les baisers à tout vent, les câlins aux nouveau-nés, aux enfants et surtout aux bébés etc. Tout doit être fait pour que les populations ne se touchent pas trop, surtout quand cela n’est pas indispensable.?
Franck Boyo
‘’Or donc, notre Ministre a bien fait de ne pas baisser la garde, dans la sensibilisation des populations contre le virus Ebola’’. Cette remarque meuble les échanges, depuis qu’Ebola est sorti de son coma. Comme il fallait s’y attendre, le terrible virus Ebola s’est réveillé quelque part d’autre, après deux mois de sommeil. Cette fois, c’est la Sierra Leone qui a eu la malchance d’accueillir le retour de ce méchant virus qui a déjà fait des ravages en Guinée Conakry. Les populations ont donc raison de ce ravir que la Ministre de la santé ait maintenu la sensibilisation. Depuis le début, la Côte d’Ivoire est sur le qui vive, en prenant toutes les mesures préventives, même quant Ebola avait donné l’impression d’avoir été vaincu. C’est le lieu de féliciter la Ministre de la santé, Raymonde Goudou. Depuis le début, elle lutte sans relâche pour éviter que ce virus n’atteigne la Côte d’Ivoire. Raymonde Goudou n’a en aucun moment baissé la garde. Cette lutte sans merci donne pour le moment des fruits, étant donné que par la grâce de Dieu, aucun cas n’a encore été déclaré en Côte d’Ivoire. La nation toute entière doit continuer de se mobiliser, afin que nos personnels de santé aient les moyens de continuer cette lutte salutaire contre Ebola. Toutes les composantes de la nation doivent être mises à contribution, afin que le message parvienne aux périphéries des villes et villages. Les chefs coutumiers et religieux, les ONG, les associations, les mutuelles de développement, les syndicats etc. Tout le monde doit se sentir concerné, parce que cette lutte est une cause nationale. L’Etat ne doit lésiner sur aucun moyen, afin que les structures et personnels de santé ne manquent pas de moyens. Rien ne doit être négligé ni retardé, afin que la Côte d’Ivoire soit épargnée à jamais par Ebola.
Il faut contrôler l’immigration massive
Depuis la Présidentielle de 2010, la Côte d’Ivoire est redevenue le point convergent du flux migratoire sous-régional. De partout, les populations viennent, à la recherche d’un mieux-être socioéconomique. Les avions, les trains, les cars et les pirogues sont tous bourrés, et dirigés vers la Côte d’Ivoire. C’est la rançon de la positive métamorphose que subit ce pays. La normalisation de la situation sociopolitique ivoirienne a rendu la Côte d’Ivoire fréquentable à nouveau, ce qui est une bonne chose. Mais il faut veiller sur ce flux migratoire, dans la mesure où il est à présent susceptible de favoriser l’apparition des virus tel Ebola. Les quartiers précaires et les bidonvilles reçoivent tellement de monde, qu’il y a lieu d’y veiller. Sans le vouloir, des personnes immigreront en Côte d’Ivoire alors qu’atteintes par le virus. Le brassage aidant, ces personnes sont susceptibles de propager ce virus dans leurs entourages. Les actions de proximité doivent s’amplifier, afin que les populations évitent la cohabitation trop accentuée. Il faut interdire les embrassades, les salutations avec poignées de mains, les baisers à tout vent, les câlins aux nouveau-nés, aux enfants et surtout aux bébés etc. Tout doit être fait pour que les populations ne se touchent pas trop, surtout quand cela n’est pas indispensable.?
Franck Boyo