Le Directeur départemental de la santé, Dr Goun Honoré, a demandé mercredi, l’union sacrée de tous les habitants du district sanitaire de Daloa, pour s’impliquer véritablement dans la réussite du premier passage des journées nationales de vaccination de l’année 2014 contre la poliomyélite, prévue du 13 au 16 juin.
En effet pour éradiquer complètement cette maladie invalidante sur toute l’étendue du District sanitaire et partout ailleurs dans le pays, il faut, a-t-il dit que tout le monde comprenne la nécessité de sortir les enfants de 0 à 5 ans pour recevoir les gouttes du vaccin anti polio, associées cette fois à l’administration de la vitamine A.
Pour atteindre de très bons scores, il a annoncé l’enrôlement de 920 vaccinateurs qui feront du porte à porte pour dénicher tous les enfants concernés par l’opération, tout en souhaitant zéro refus au niveau des familles, dans la mesure où un seul cas de poliovirus sauvage est synonyme d’épidémie.
La particularité de ce premier passage de l’année 2014, sera d’insister tout particulièrement sur les sites de regroupement, tels que les marchés, les corridors et autres barrages où se trouvent beaucoup d’enfants, selon le consultant OMS, Dr Saki, ayant la responsabilité de superviser la campagne de Daloa.
yy/kam
En effet pour éradiquer complètement cette maladie invalidante sur toute l’étendue du District sanitaire et partout ailleurs dans le pays, il faut, a-t-il dit que tout le monde comprenne la nécessité de sortir les enfants de 0 à 5 ans pour recevoir les gouttes du vaccin anti polio, associées cette fois à l’administration de la vitamine A.
Pour atteindre de très bons scores, il a annoncé l’enrôlement de 920 vaccinateurs qui feront du porte à porte pour dénicher tous les enfants concernés par l’opération, tout en souhaitant zéro refus au niveau des familles, dans la mesure où un seul cas de poliovirus sauvage est synonyme d’épidémie.
La particularité de ce premier passage de l’année 2014, sera d’insister tout particulièrement sur les sites de regroupement, tels que les marchés, les corridors et autres barrages où se trouvent beaucoup d’enfants, selon le consultant OMS, Dr Saki, ayant la responsabilité de superviser la campagne de Daloa.
yy/kam