Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, ex-parti unique) a salué, vendredi soir, la confirmation des charges contre l’ancien Président ivoirien Laurent Gbagbo, estimant que c’est une « décision historique importante » qui doit « inspirer » dans l'exercice des « libertés publiques et la pratique des élections sans violence ».
Jeudi, la Cour pénale internationale (CPI) a confirmé, à la majorité, quatre charges de crimes contre l'humanité (meurtre, viol, autres actes inhumains ou – à titre subsidiaire – tentative de meurtre, et persécution) à l'encontre de l'ancien Président ivoirien Laurent Gbagbo et l'a renvoyé en procès devant une chambre de première instance.
« Le Parti Démocratique de Côte d'Ivoire, parti épris de paix , de justice et de non violence, salue cette importante décision qui devra nous inspirer dans l'exercice des Libertés publiques, la pratique des élections sans violence et du droit à la différence, piliers de l'idéologie de notre Parti, le PDCI-RDA », stipule une déclaration transmise à APA et signée du Secrétaire exécutif chargé de l'information et de la communication, et Porte parole du PDCI, Kobénan Kouassi Adjoumani.
« Cette décision historique nous interpelle et nous invite tous à la protection des citoyens et au renforcement de la démocratie en Côte d'Ivoire, ajoute-t-il en invitant « l'ensemble des populations à poursuivre le dialogue pour une paix définitive et durable dans notre pays ».
Conformément à la décision de la CPI, M. Gbagbo sera jugé pour les infractions retenues contre lui, à l'occasion de la crise postélectorale de 2010 en Côte d'Ivoire, qui a entrainé la mort de plus de 3000 personnes.
Laurent Gbagbo (69 ans), ancien Président de la Côte d'Ivoire, a été remis à la CPI le 30 novembre 2011 et sa première comparution devant la Chambre préliminaire a eu lieu le 5 décembre de la même année.
Jeudi, la Cour pénale internationale (CPI) a confirmé, à la majorité, quatre charges de crimes contre l'humanité (meurtre, viol, autres actes inhumains ou – à titre subsidiaire – tentative de meurtre, et persécution) à l'encontre de l'ancien Président ivoirien Laurent Gbagbo et l'a renvoyé en procès devant une chambre de première instance.
« Le Parti Démocratique de Côte d'Ivoire, parti épris de paix , de justice et de non violence, salue cette importante décision qui devra nous inspirer dans l'exercice des Libertés publiques, la pratique des élections sans violence et du droit à la différence, piliers de l'idéologie de notre Parti, le PDCI-RDA », stipule une déclaration transmise à APA et signée du Secrétaire exécutif chargé de l'information et de la communication, et Porte parole du PDCI, Kobénan Kouassi Adjoumani.
« Cette décision historique nous interpelle et nous invite tous à la protection des citoyens et au renforcement de la démocratie en Côte d'Ivoire, ajoute-t-il en invitant « l'ensemble des populations à poursuivre le dialogue pour une paix définitive et durable dans notre pays ».
Conformément à la décision de la CPI, M. Gbagbo sera jugé pour les infractions retenues contre lui, à l'occasion de la crise postélectorale de 2010 en Côte d'Ivoire, qui a entrainé la mort de plus de 3000 personnes.
Laurent Gbagbo (69 ans), ancien Président de la Côte d'Ivoire, a été remis à la CPI le 30 novembre 2011 et sa première comparution devant la Chambre préliminaire a eu lieu le 5 décembre de la même année.