Pour la Côte d’Ivoire, qui fait son entrée en lice dans le Mondial 2014 face au Japon, aux premières heures de ce dimanche (01h GMT) à Recife, pour le compte de la 1ère journée du groupe C, l’heure de l’affirmation sur la scène internationale a sonné.
Amenés par leur méga star vieillissante, Didier Drogba, (36 ans) et ses deux leaders techniques Yaya Touré (incertain pour une blessure aux ischio-jambiers) et Gervinho, les «Eléphants» visent une présence au second tour en attendant mieux. «L'objectif premier est de sortir des poules. Si l'on passe tout est possible», ne cesse de rabâcher leur coach, le Franco-Tunisien Sabri Lamouchi.
Lors de leurs deux précédentes participations, les «Eléphants» avaient toujours été éliminés au 1er tour. La faute, en grande partie, aux «groupes de la mort» dans lesquels il étaient chaque fois tombés : Argentine, Pays-Bas et Serbie-Monténégro en 2006 et Brésil, Portugal et Corée du Nord en 2010. Cette fois-ci, Didier Drogba et sa bande ont hérité d'un groupe largement à leur portée, en compagnie du Japon, de la Colombie et de la Grèce.
En plus, les Ivoiriens, qui en seront à leur troisième participation (de surcroît, consécutive) à cette grande messe du ballon rond mondial, ne peuvent plus brandir l'excuse de l'inexpérience. Au contraire, le pays du lac Ebrié, dont le noyau dur de l'effectif est toujours en place, a accumulé une appréciable culture du Mondial.
Autre atout des «Eléphants», la qualité de son effectif où de jeunes loups (Serge Aurier, Gradel, Diomandé, Bolly) côtoient des monstres sacrés en fin de carrière (Copa Barry, Kolo Touré, Zokora, Boka, Drogba).
Suffisant pour se motiver surtout pour ces derniers désireux de réussir leur dernière sortie sur la scène internationale, en attendant la Coupe d'Afrique des nations (CAN) de 2015…
Amenés par leur méga star vieillissante, Didier Drogba, (36 ans) et ses deux leaders techniques Yaya Touré (incertain pour une blessure aux ischio-jambiers) et Gervinho, les «Eléphants» visent une présence au second tour en attendant mieux. «L'objectif premier est de sortir des poules. Si l'on passe tout est possible», ne cesse de rabâcher leur coach, le Franco-Tunisien Sabri Lamouchi.
Lors de leurs deux précédentes participations, les «Eléphants» avaient toujours été éliminés au 1er tour. La faute, en grande partie, aux «groupes de la mort» dans lesquels il étaient chaque fois tombés : Argentine, Pays-Bas et Serbie-Monténégro en 2006 et Brésil, Portugal et Corée du Nord en 2010. Cette fois-ci, Didier Drogba et sa bande ont hérité d'un groupe largement à leur portée, en compagnie du Japon, de la Colombie et de la Grèce.
En plus, les Ivoiriens, qui en seront à leur troisième participation (de surcroît, consécutive) à cette grande messe du ballon rond mondial, ne peuvent plus brandir l'excuse de l'inexpérience. Au contraire, le pays du lac Ebrié, dont le noyau dur de l'effectif est toujours en place, a accumulé une appréciable culture du Mondial.
Autre atout des «Eléphants», la qualité de son effectif où de jeunes loups (Serge Aurier, Gradel, Diomandé, Bolly) côtoient des monstres sacrés en fin de carrière (Copa Barry, Kolo Touré, Zokora, Boka, Drogba).
Suffisant pour se motiver surtout pour ces derniers désireux de réussir leur dernière sortie sur la scène internationale, en attendant la Coupe d'Afrique des nations (CAN) de 2015…