Les consultations régionales pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre en vue du sommet humanitaire mondial prévu pour 2016, se sont ouvertes jeudi 19 juin à Abidjan, en présence de la Secrétaire général adjoint de l’ONU aux Affaires humanitaire, Valerie Amos et de la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto.
La diplomate Onusienne a justifié la tenue de ces consultations par le fait que l’environnement humanitaire est méconnaissable aujourd’hui comparé aux 20 dernières années. Les défis mondiaux comme l’urbanisation, la croissance économique dans certains pays, la dégradation environnementale, les conflits, le changement climatique et la rareté des ressources font que les besoins humanitaires ont augmenté, au-delà des capacités de réponse du système humanitaire international. Toute chose qui occasionne également l’augmentation des dépenses.
Selon Valerie Amos, entre 2004 et 2013, les requêtes financières humanitaires ont, de façon égale, doublé passant de 6 milliards de dollars à plus de 10 milliards de dollars par an. Au cours de la même période, le nombre de personnes ciblées par les appels inter-agence a augmenté de 30 millions à 70 millions.
Abordant dans le même sens, la ministre ivoirienne de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Ouloto a indiqué que dans le contexte sociopolitique actuel de nos régions marqué par des conflits armés et autres menaces terroristes et catastrophes naturelles, la question de l’aide humanitaire prend un accent particulier. Elle apparaît alors comme une réponse à la détresse provoquée par ces crises, permettant de satisfaire les besoins de base.
Cette rencontre d’Abidjan, prévue pour durer 48 heures, réunit les acteurs des agences du système des Nations Unies, en charge des actions humanitaires en Afrique de l’Ouest et du Centre.
La diplomate Onusienne a justifié la tenue de ces consultations par le fait que l’environnement humanitaire est méconnaissable aujourd’hui comparé aux 20 dernières années. Les défis mondiaux comme l’urbanisation, la croissance économique dans certains pays, la dégradation environnementale, les conflits, le changement climatique et la rareté des ressources font que les besoins humanitaires ont augmenté, au-delà des capacités de réponse du système humanitaire international. Toute chose qui occasionne également l’augmentation des dépenses.
Selon Valerie Amos, entre 2004 et 2013, les requêtes financières humanitaires ont, de façon égale, doublé passant de 6 milliards de dollars à plus de 10 milliards de dollars par an. Au cours de la même période, le nombre de personnes ciblées par les appels inter-agence a augmenté de 30 millions à 70 millions.
Abordant dans le même sens, la ministre ivoirienne de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Ouloto a indiqué que dans le contexte sociopolitique actuel de nos régions marqué par des conflits armés et autres menaces terroristes et catastrophes naturelles, la question de l’aide humanitaire prend un accent particulier. Elle apparaît alors comme une réponse à la détresse provoquée par ces crises, permettant de satisfaire les besoins de base.
Cette rencontre d’Abidjan, prévue pour durer 48 heures, réunit les acteurs des agences du système des Nations Unies, en charge des actions humanitaires en Afrique de l’Ouest et du Centre.