La courte défaite de la Côte d'Ivoire contre la Colombie (1- 2) à la Coupe du monde de football, qui se dispute actuellement au Brésil, a laissé un goût amer aux supporteurs guinéens qui, toutefois, se montrent indulgents à l’endroit des coéquipiers de Didier Drogba du fait de leur bonne la prestation.
Pour la plupart des supporteurs de la banlieue de Conakry, les Ivoiriens sont tombés les armes à la main face à la Colombie, contrairement au Cameroun qui a été battu largement 4 à 0 par la Croatie.
"Entre le Cameroun et la Croatie, mes clients ont vidé la salle vingt minutes avant la fin du match mais entre la Côte d'ivoire et la Colombie, ils sont restés jusqu'au coup de sifflet final", confie Mamadou Diallo, propriétaire d'un vidéoclub à Coza dans la banlieue de Conakry.
"On est déçus mais pas trop. Parce que les Ivoiriens ont mouillé le maillot. Avec eux, contre la Grèce, il y a de l'espoir. La Colombie l'a emporté mais tout le monde a apprécié le niveau du match", ajoute Djenabou Niang, qui se dit fier de porter le maillot des Ivoiriens même après leur défaite.
"Avec la Côte d'ivoire, rien n'est perdu. Les Éléphants sont capables de se qualifier surtout que leur destin est entre leurs mains. Je crois en eux", renchérit Aissatou Bah, qui a grandi à Abidjan.
AB/cat/APA
Pour la plupart des supporteurs de la banlieue de Conakry, les Ivoiriens sont tombés les armes à la main face à la Colombie, contrairement au Cameroun qui a été battu largement 4 à 0 par la Croatie.
"Entre le Cameroun et la Croatie, mes clients ont vidé la salle vingt minutes avant la fin du match mais entre la Côte d'ivoire et la Colombie, ils sont restés jusqu'au coup de sifflet final", confie Mamadou Diallo, propriétaire d'un vidéoclub à Coza dans la banlieue de Conakry.
"On est déçus mais pas trop. Parce que les Ivoiriens ont mouillé le maillot. Avec eux, contre la Grèce, il y a de l'espoir. La Colombie l'a emporté mais tout le monde a apprécié le niveau du match", ajoute Djenabou Niang, qui se dit fier de porter le maillot des Ivoiriens même après leur défaite.
"Avec la Côte d'ivoire, rien n'est perdu. Les Éléphants sont capables de se qualifier surtout que leur destin est entre leurs mains. Je crois en eux", renchérit Aissatou Bah, qui a grandi à Abidjan.
AB/cat/APA