La Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) en Collaboration avec le Centre International- OIT/Turin, et le soutien du BIT/Dakar, organise du 23 au 26 juin au NOVOTEL Abidjan Plateau, une formation de haut niveau sur le thème : « Dialogue Social et Techniques de Négociation ».
L’opportunité de cette formation n’est plus à démontrer. En effet, après la valorisation d’un salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), la Commission Indépendante Permanente de Concertation (CIPC), a entamé avec les organisations syndicales de travailleurs, les négociations portant à la fois sur la revalorisation du salaire minimum agricole (SMAG), mais surtout la revalorisation des salaires minimum catégoriels conventionnels. Pour les salaires catégoriels, il reviendra aux groupements et aux entreprises de conduire les négociations au niveau sectoriel. D’où l’organisation de la présente formation pour donner les moyens aux entreprises de conduire dans les meilleures conditions les futures négociations.
Cette formation s’adresse aux dirigeants d’entreprises, Gestionnaires des Ressources Humaines, Dirigeants de Groupements Professionnels.
Elle vise à développer la compréhension des processus du dialogue social et des tendances actuelles en matière de relations professionnelles entre employeurs et employés. Mais aussi à renforcer les compétences des participants en méthodes et techniques de négociation, afin de mener avec plus d’efficacité les négociations à divers niveaux.
Pour Madame Julie KAZAGUI représentante du BIT, la négociation est une tâche difficile en raison des fortes pressions auxquelles est souvent soumis le déroulement de tels processus et des enjeux sociaux et économiques élevés pour les entreprises et les travailleurs. Par conséquent la préparation des employeurs à la négociation collective est un élément essentiel du processus de croissance des entreprises. Mr Bernard N’DOUMI, vice-président de la CGECI a fait la précision suivante « le dialogue social conditionne le climat social, et un climat social apaisé est gage de productivité et de développement de l’entreprise ». Sur cette lancée, le président de la commission sociale, formation et emploi de la CGECI Maitre HOEGAH Theodore, tout en remerciant le BIT pour sa contribution à la réussite de cette formation, a tenu à expliquer que cette formation animée par des experts venus de Turin (pour la première fois), est un outil de recherche de compromis entre les représentés des salariés et des employeurs sur les questions d’intérêt mutuel liées à la politique économique et sociale de l’entreprise.
Rappelons que cette formation est assurée par Jules ONI spécialiste dialogue social et administration du travail du bureau de Dakar et Sylvain Baffi chargé de programme dialogue social au Centre de Formation de l’OIT à Turin.
L’opportunité de cette formation n’est plus à démontrer. En effet, après la valorisation d’un salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), la Commission Indépendante Permanente de Concertation (CIPC), a entamé avec les organisations syndicales de travailleurs, les négociations portant à la fois sur la revalorisation du salaire minimum agricole (SMAG), mais surtout la revalorisation des salaires minimum catégoriels conventionnels. Pour les salaires catégoriels, il reviendra aux groupements et aux entreprises de conduire les négociations au niveau sectoriel. D’où l’organisation de la présente formation pour donner les moyens aux entreprises de conduire dans les meilleures conditions les futures négociations.
Cette formation s’adresse aux dirigeants d’entreprises, Gestionnaires des Ressources Humaines, Dirigeants de Groupements Professionnels.
Elle vise à développer la compréhension des processus du dialogue social et des tendances actuelles en matière de relations professionnelles entre employeurs et employés. Mais aussi à renforcer les compétences des participants en méthodes et techniques de négociation, afin de mener avec plus d’efficacité les négociations à divers niveaux.
Pour Madame Julie KAZAGUI représentante du BIT, la négociation est une tâche difficile en raison des fortes pressions auxquelles est souvent soumis le déroulement de tels processus et des enjeux sociaux et économiques élevés pour les entreprises et les travailleurs. Par conséquent la préparation des employeurs à la négociation collective est un élément essentiel du processus de croissance des entreprises. Mr Bernard N’DOUMI, vice-président de la CGECI a fait la précision suivante « le dialogue social conditionne le climat social, et un climat social apaisé est gage de productivité et de développement de l’entreprise ». Sur cette lancée, le président de la commission sociale, formation et emploi de la CGECI Maitre HOEGAH Theodore, tout en remerciant le BIT pour sa contribution à la réussite de cette formation, a tenu à expliquer que cette formation animée par des experts venus de Turin (pour la première fois), est un outil de recherche de compromis entre les représentés des salariés et des employeurs sur les questions d’intérêt mutuel liées à la politique économique et sociale de l’entreprise.
Rappelons que cette formation est assurée par Jules ONI spécialiste dialogue social et administration du travail du bureau de Dakar et Sylvain Baffi chargé de programme dialogue social au Centre de Formation de l’OIT à Turin.
