Abidjan (Côte d'Ivoire) - L'élimination des Eléphants de Côte d'Ivoire, mardi soir, par les Grecs (1-2) lors du troisième et dernier match du groupe C de la 20è édition de la Coupe du monde de football "Brésil 2014" s'est apparentée à un "deuil national", a constaté APA sur place.
C'est un calme plat qui s'est emparé de la capitale économique ivoirienne. Les rues d'Abidjan et celles des villes de l'intérieur sont restées désertes après ce match qui a laissé les ivoiriens pantois.
D'Abidjan à Korhogo en passant par Yamoussoukro et Bouaké, les supporters qui avaient prévu de faire la "fête'' sont rentrés en "catimini'' chez eux sans faire de bruit.
D'Abengourou (Est) à Man dans l'Ouest du pays en passant par Daloa (Centre-Ouest), le scénario a été le même selon des habitants joints au téléphone par APA.
"C'est dommage pour cette génération Didier Drogba'' a déclare à APA, Moussa Coulibaly visiblement découragé de l'arbitrage. Pour M. Coulibaly cette élimination des Eléphants est imputable à l'arbitre.
"C'est avec un coup de pouce de l'arbitre équatorien Carlos Vera que la Grèce s'est qualifiée", a-t-il constaté, soulignant que "c'est un pénalty inexistant qui a été accordé aux Grecs à 30 secondes de la fin du match, privant les Eléphants d'une qualification en 1/8ème de finale".
"Même si la Grèce a, sur l'ensemble de la rencontre, dominé la Côte d'Ivoire, cette formation n'avait pas besoin de la faveur de l'arbitre pour sortir la sélection ivoirienne", renchérit Gervais N'dattien.
Les grecs ont maîtrisé leur sujet, touchant à deux reprises les montants des buts de Copa Barry et une fois la barre transversale durant la partie. C'est tout naturellement qu'ils ouvrent le score par Gerogios Samaras (42') qui hérite d'une balle perdue par Cheick Tioté pour aller battre Copa Barry.
Une perte de balle à l'image de Serey Dié qui avait offert le but de la victoire à la Colombie (1-2) lors de la deuxième journée. A 1-0, les Eléphants, se sentant éliminés, jettent leurs forces dans la bataille en deuxième période.
Ils réussissent le plus difficile en revenant à la hauteur des Grecs grâce à Wilfried Bony qui a conclu une action initiée par Kalou et relayée par Gervinho, le mettant sur orbite pour rétablir la parité au score (74' ; 1-1).
A cet instant, les Eléphants qualifiés, tiennent le résultat jusqu'à la dernière minute du temps additionnel. Moment que choisit Carlos Vera pour "offrir généreusement", un pénalty à la Grèce sur une action où Georgios Samaras se mélange les pinceaux pour s'effondrer dans la surface de réparation ivoirienne.
L'arbitre y voit une faute et siffle le pénalty contre la Côte d'Ivoire. Samaras se faisant justice, transforme la sentence (93' ; 2-1), synonyme d'élimination des Eléphants.
C'est un calme plat qui s'est emparé de la capitale économique ivoirienne. Les rues d'Abidjan et celles des villes de l'intérieur sont restées désertes après ce match qui a laissé les ivoiriens pantois.
D'Abidjan à Korhogo en passant par Yamoussoukro et Bouaké, les supporters qui avaient prévu de faire la "fête'' sont rentrés en "catimini'' chez eux sans faire de bruit.
D'Abengourou (Est) à Man dans l'Ouest du pays en passant par Daloa (Centre-Ouest), le scénario a été le même selon des habitants joints au téléphone par APA.
"C'est dommage pour cette génération Didier Drogba'' a déclare à APA, Moussa Coulibaly visiblement découragé de l'arbitrage. Pour M. Coulibaly cette élimination des Eléphants est imputable à l'arbitre.
"C'est avec un coup de pouce de l'arbitre équatorien Carlos Vera que la Grèce s'est qualifiée", a-t-il constaté, soulignant que "c'est un pénalty inexistant qui a été accordé aux Grecs à 30 secondes de la fin du match, privant les Eléphants d'une qualification en 1/8ème de finale".
"Même si la Grèce a, sur l'ensemble de la rencontre, dominé la Côte d'Ivoire, cette formation n'avait pas besoin de la faveur de l'arbitre pour sortir la sélection ivoirienne", renchérit Gervais N'dattien.
Les grecs ont maîtrisé leur sujet, touchant à deux reprises les montants des buts de Copa Barry et une fois la barre transversale durant la partie. C'est tout naturellement qu'ils ouvrent le score par Gerogios Samaras (42') qui hérite d'une balle perdue par Cheick Tioté pour aller battre Copa Barry.
Une perte de balle à l'image de Serey Dié qui avait offert le but de la victoire à la Colombie (1-2) lors de la deuxième journée. A 1-0, les Eléphants, se sentant éliminés, jettent leurs forces dans la bataille en deuxième période.
Ils réussissent le plus difficile en revenant à la hauteur des Grecs grâce à Wilfried Bony qui a conclu une action initiée par Kalou et relayée par Gervinho, le mettant sur orbite pour rétablir la parité au score (74' ; 1-1).
A cet instant, les Eléphants qualifiés, tiennent le résultat jusqu'à la dernière minute du temps additionnel. Moment que choisit Carlos Vera pour "offrir généreusement", un pénalty à la Grèce sur une action où Georgios Samaras se mélange les pinceaux pour s'effondrer dans la surface de réparation ivoirienne.
L'arbitre y voit une faute et siffle le pénalty contre la Côte d'Ivoire. Samaras se faisant justice, transforme la sentence (93' ; 2-1), synonyme d'élimination des Eléphants.