Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a déclaré, mardi, à l’ouverture du « Forum minier régional » à Abidjan que le secteur minier doit être une « seconde mamelle » de l’économie ivoirienne.
Selon le Premier ministre, ministre de l’Economie, des finances et du budget, Daniel Kablan Duncan, le secteur minier est appelé à jouer un rôle prépondérant dans le développement de la Côte d’Ivoire. « Il devra être une seconde mamelle de l’économie nationale » a-t-il déclaré à l’ouverture du Forum dans son discours transmis à APA par ses services.
Pour M. Duncan, les dirigeants africains doivent faire en sorte que « les ressources minières contribuent dorénavant au développement de leurs pays respectifs » car , estime-t-il, l’Afrique ne tire pas encore un « grand profit des exploitations »de son sous-sol, malgré les « énormes potentialités » qu’il regorge.
« Le développement de l’Afrique nécessite donc une croissance économique forte et durable soutenue par des investissements tant publics que privés dans les secteurs agricoles, industriels et des services mais également miniers » a souligné le Premier ministre ivoirien.
« L’Afrique ne récolte toujours pas suffisamment les bénéfices de l’exploitation de ses immenses ressources minières. Ce constat a entrainé ce que beaucoup de spécialistes ont appelé la malédiction des ressources naturelles c’est-à-dire l’existence de ces ressources avec une pauvreté souvent généralisée » a fait remarquer Daniel Kablan Duncan.
En la matière, a-t-il indiqué, le gouvernement ivoirien a entrepris des "reformes" du secteur avec l’adoption « d’un code minier » qui préconise « le renforcement des grands axes de développement, la promotion d’entreprises nationales, la redynamisation de la prospection et la rationalisation de l’artisanat minier », a expliqué M. Duncan.
Pour marquer sa volonté de renforcer le rôle du secteur minier, le gouvernement ivoirien, selon son chef, s’est fixé pour objectif de « porter sa part dans le PIB de 1 % actuellement à 5% en 2020 ».
« Le secteur minier ivoirien qui dispose d’un important potentiel encore inexploité est confrontée aux mêmes défis que tous les autres pays africains » a-t-il encore martelé.
Le Forum qui réunit des ministres des mines ou représentants de 19 pays, est, conjointement, organisé par le ministère ivoirien des mines, l’Union Economique et Monétaire Ouest Africain (UEMOA), la Banque mondiale et le ministère australien du Commerce et des Affaires étrangères. Les travaux prennent fin vendredi.
Selon le Premier ministre, ministre de l’Economie, des finances et du budget, Daniel Kablan Duncan, le secteur minier est appelé à jouer un rôle prépondérant dans le développement de la Côte d’Ivoire. « Il devra être une seconde mamelle de l’économie nationale » a-t-il déclaré à l’ouverture du Forum dans son discours transmis à APA par ses services.
Pour M. Duncan, les dirigeants africains doivent faire en sorte que « les ressources minières contribuent dorénavant au développement de leurs pays respectifs » car , estime-t-il, l’Afrique ne tire pas encore un « grand profit des exploitations »de son sous-sol, malgré les « énormes potentialités » qu’il regorge.
« Le développement de l’Afrique nécessite donc une croissance économique forte et durable soutenue par des investissements tant publics que privés dans les secteurs agricoles, industriels et des services mais également miniers » a souligné le Premier ministre ivoirien.
« L’Afrique ne récolte toujours pas suffisamment les bénéfices de l’exploitation de ses immenses ressources minières. Ce constat a entrainé ce que beaucoup de spécialistes ont appelé la malédiction des ressources naturelles c’est-à-dire l’existence de ces ressources avec une pauvreté souvent généralisée » a fait remarquer Daniel Kablan Duncan.
En la matière, a-t-il indiqué, le gouvernement ivoirien a entrepris des "reformes" du secteur avec l’adoption « d’un code minier » qui préconise « le renforcement des grands axes de développement, la promotion d’entreprises nationales, la redynamisation de la prospection et la rationalisation de l’artisanat minier », a expliqué M. Duncan.
Pour marquer sa volonté de renforcer le rôle du secteur minier, le gouvernement ivoirien, selon son chef, s’est fixé pour objectif de « porter sa part dans le PIB de 1 % actuellement à 5% en 2020 ».
« Le secteur minier ivoirien qui dispose d’un important potentiel encore inexploité est confrontée aux mêmes défis que tous les autres pays africains » a-t-il encore martelé.
Le Forum qui réunit des ministres des mines ou représentants de 19 pays, est, conjointement, organisé par le ministère ivoirien des mines, l’Union Economique et Monétaire Ouest Africain (UEMOA), la Banque mondiale et le ministère australien du Commerce et des Affaires étrangères. Les travaux prennent fin vendredi.