Yamoussoukro - Après l'élimination des Elephants de Côte d'Ivoire par la Grèce au Mondial du Brésil, "la déception et l'amertume" se lisaient sur les visages des populations de la capitale politique et administrative ivoirienne, Yamoussoukro, qui prévoyaient faire la fête en cas de qualification de leur équipe nationale au deuxième de cette compétition.
De nombreux supporters qui avaient prévu célébrer l'accession des éléphants pour la première fois en huitième de finale de la Coupe du monde, avaient pris d'assaut dès 18 h30 les maquis et autres espaces publics où ils s'étaient donnés rendez-vous pour suivre le match en direct.
Alors qu'on s'acheminait vers la fin du match les supporters ivoiriens qui croyaient fermement à la qualification ''historique'' des éléphants footballeurs, sont secoués par le coup de sifflet de l'arbitre Chilien Carlos Vera, indiquant le point de penalty pour la Grèce dans la dernière minute du temps additionnel.
''Les secondes qui ont précédé l'exécution ont été un moment difficile pour nous'', a fait savoir Marcelin Koffi en compagnie de nombreux autres supporters qui s'étaient mis à genoux, priant afin que le joueur grec rate le pénalty.
''C'est encore une autre désillusion nos prières n'ont pas été exhaussées'', avoue Moussa Traoré un "fervent" supporter des éléphants après la transformation du penalty par Georgio Samaras le joueur Grec, brisant ainsi le rêve de tout un peuple qui était pourtant à quelques secondes d'une qualification pour les huitièmes de finale de la coupe du monde.
Yamoussoukro, la ville lumière paraissait "sombre tout d'un coup", les supporters dans le silence regagnaient leur domicile. Dans les rues, à peine, voyait-on les véhicules circuler, les maquis et bars fermés.
Dans les quartiers les habitants ne font aucun commentaire préférant ''digérer'' à cette heure tardive de la nuit leur "douleur dans le silence", espérant que "demain naîtra une nouvelle génération, capable de porter la Côte d'Ivoire au firmament du football mondial".
(AIP)
nam/ask
De nombreux supporters qui avaient prévu célébrer l'accession des éléphants pour la première fois en huitième de finale de la Coupe du monde, avaient pris d'assaut dès 18 h30 les maquis et autres espaces publics où ils s'étaient donnés rendez-vous pour suivre le match en direct.
Alors qu'on s'acheminait vers la fin du match les supporters ivoiriens qui croyaient fermement à la qualification ''historique'' des éléphants footballeurs, sont secoués par le coup de sifflet de l'arbitre Chilien Carlos Vera, indiquant le point de penalty pour la Grèce dans la dernière minute du temps additionnel.
''Les secondes qui ont précédé l'exécution ont été un moment difficile pour nous'', a fait savoir Marcelin Koffi en compagnie de nombreux autres supporters qui s'étaient mis à genoux, priant afin que le joueur grec rate le pénalty.
''C'est encore une autre désillusion nos prières n'ont pas été exhaussées'', avoue Moussa Traoré un "fervent" supporter des éléphants après la transformation du penalty par Georgio Samaras le joueur Grec, brisant ainsi le rêve de tout un peuple qui était pourtant à quelques secondes d'une qualification pour les huitièmes de finale de la coupe du monde.
Yamoussoukro, la ville lumière paraissait "sombre tout d'un coup", les supporters dans le silence regagnaient leur domicile. Dans les rues, à peine, voyait-on les véhicules circuler, les maquis et bars fermés.
Dans les quartiers les habitants ne font aucun commentaire préférant ''digérer'' à cette heure tardive de la nuit leur "douleur dans le silence", espérant que "demain naîtra une nouvelle génération, capable de porter la Côte d'Ivoire au firmament du football mondial".
(AIP)
nam/ask
