L'élimination de la sélection ivoirienne de football par la Grèce mardi dans le cadre du Mondial 2014 au Brésil fait les choux gras des journaux ivoiriens partagés entre indignation, colère et incompréhension.
"Eléphants, c'est la fin !", s'exclame Le Patriote quand le quotidien gouvernemental, Fraternité Matin, constate avec amertume que "Les Eléphants coulent devant le Bateau pirate".
L'Expression, lui, ne prend pas de gants : "Eléphants de Côte d'Ivoire : Oh honte !", s'indigne le quotidien.
"Ils étaient attendus par un peuple debout comme un seul, avec à sa tête son président, mais comme d'habitude, ils ont encore déçu", écrit le journal qui appelle à "virer cette génération maudite qui a tout pour gagner et qui refuse de faire plaisir à son peuple".
Le quotidien Nord-Sud tente de donner des explications tactiques et techniques : "lourds et sans idée, les joueurs de Sabri Lamouchi ont réalisé une première période d'une pauvreté navrante. Endormis par les Grecs, ils ont clairement manqué de rythme, incapables de se procurer la moindre occasion de but".
Le journal évoque également "la malédiction" avec ce pénalty concédé dans le temps additionnel qui a permis à la Grèce de mener par 2 à 1.
Pour le quotidien indépendant L'Intelligent d'Abidjan, "Dieu n'était pas Ivoirien", relativement à ce but encaissé alors que les Ivoiriens tenaient le bon bout (à 1-1) pour une qualification historique en huitième de finale d'une phase finale de la Coupe du monde.
"Les Ivoiriens ont été cueillis à froid dans les derniers instants sur pénalty", déplore le journal qui ajoute que "cette performance a endeuillé les Ivoiriens à Abidjan, comme dans les villes de l'intérieur du pays, où déception, désarroi, tristesse et douleur se lisaient sur le visage des supporters".
Le Nouveau Courrier ne décolère pas relativement à ce penalty de dernière minute et accuse l'arbitre.
"Les Eléphants ont été victimes d'un arbitrage scandaleux. Alors qu'ils tenaient le match nul face aux Grecs à Fortaleza, les Eléphants ont été freinés dans les derniers instants du match par un penalty imaginaire accordé par l'arbitre", s'insurge le journal.
A en croire Le Nouveau Courrier, "la camera montre bien que le Grec se prend le pied dans le gazon".
"Une grosse erreur d'arbitrage, si elle n'est pas voulu expressément par l'arbitre, qui intervenait au très mauvais moment. Juste à la 90e minute", déplore le journal.
Le quotidien Fraternité Matin pense plutôt que les Ivoiriens ont été "victimes de Lamouchi", le sélectionneur de l'équipe nationale, pour avoir sorti à 15 minutes de la fin du match Didier Drogba et Gervinho qui "empêchaient les Grecs de créer le surnombre dans le camp ivoirien".
"Il fallait maintenir Didier Drogba et Gervinho (...) au lieu de jeter dans le bain des jeunes, certes, talentueux mais sans grade. C'est comme cela que l'on prend des fautes...bêtes qui vous coûtent le paradis", écrit le journal gouvernemental.
Fraternité Matin ne croit pas si bien dire quand Notre Voire écrit carrément : "Lamouchi élimine les Eléphants".
"Lamouchi élimine les Eléphants et fuit", renchérit Le Nouveau Courrier.
"Convaincu qu'il a raté son coaching, Sabri Lamouchi a courageusement annoncé qu'il ne poursuivra plus l'aventure avec les Eléphants. Le technicien français a décidé de ne plus renouveler son bail avec la FIF (Fédération ivoirienne de football)", indique le quotidien L'Expression.
"Eléphants, c'est la fin !", s'exclame Le Patriote quand le quotidien gouvernemental, Fraternité Matin, constate avec amertume que "Les Eléphants coulent devant le Bateau pirate".
L'Expression, lui, ne prend pas de gants : "Eléphants de Côte d'Ivoire : Oh honte !", s'indigne le quotidien.
"Ils étaient attendus par un peuple debout comme un seul, avec à sa tête son président, mais comme d'habitude, ils ont encore déçu", écrit le journal qui appelle à "virer cette génération maudite qui a tout pour gagner et qui refuse de faire plaisir à son peuple".
Le quotidien Nord-Sud tente de donner des explications tactiques et techniques : "lourds et sans idée, les joueurs de Sabri Lamouchi ont réalisé une première période d'une pauvreté navrante. Endormis par les Grecs, ils ont clairement manqué de rythme, incapables de se procurer la moindre occasion de but".
Le journal évoque également "la malédiction" avec ce pénalty concédé dans le temps additionnel qui a permis à la Grèce de mener par 2 à 1.
Pour le quotidien indépendant L'Intelligent d'Abidjan, "Dieu n'était pas Ivoirien", relativement à ce but encaissé alors que les Ivoiriens tenaient le bon bout (à 1-1) pour une qualification historique en huitième de finale d'une phase finale de la Coupe du monde.
"Les Ivoiriens ont été cueillis à froid dans les derniers instants sur pénalty", déplore le journal qui ajoute que "cette performance a endeuillé les Ivoiriens à Abidjan, comme dans les villes de l'intérieur du pays, où déception, désarroi, tristesse et douleur se lisaient sur le visage des supporters".
Le Nouveau Courrier ne décolère pas relativement à ce penalty de dernière minute et accuse l'arbitre.
"Les Eléphants ont été victimes d'un arbitrage scandaleux. Alors qu'ils tenaient le match nul face aux Grecs à Fortaleza, les Eléphants ont été freinés dans les derniers instants du match par un penalty imaginaire accordé par l'arbitre", s'insurge le journal.
A en croire Le Nouveau Courrier, "la camera montre bien que le Grec se prend le pied dans le gazon".
"Une grosse erreur d'arbitrage, si elle n'est pas voulu expressément par l'arbitre, qui intervenait au très mauvais moment. Juste à la 90e minute", déplore le journal.
Le quotidien Fraternité Matin pense plutôt que les Ivoiriens ont été "victimes de Lamouchi", le sélectionneur de l'équipe nationale, pour avoir sorti à 15 minutes de la fin du match Didier Drogba et Gervinho qui "empêchaient les Grecs de créer le surnombre dans le camp ivoirien".
"Il fallait maintenir Didier Drogba et Gervinho (...) au lieu de jeter dans le bain des jeunes, certes, talentueux mais sans grade. C'est comme cela que l'on prend des fautes...bêtes qui vous coûtent le paradis", écrit le journal gouvernemental.
Fraternité Matin ne croit pas si bien dire quand Notre Voire écrit carrément : "Lamouchi élimine les Eléphants".
"Lamouchi élimine les Eléphants et fuit", renchérit Le Nouveau Courrier.
"Convaincu qu'il a raté son coaching, Sabri Lamouchi a courageusement annoncé qu'il ne poursuivra plus l'aventure avec les Eléphants. Le technicien français a décidé de ne plus renouveler son bail avec la FIF (Fédération ivoirienne de football)", indique le quotidien L'Expression.