Le choix porté sur Thérèse Aya N’DRI YOMAN, candidate de la Côte d’Ivoire, pour briguer le poste de Directeur Régional de l’OMS – Afrique pourrait impulser un souffle nouveau à la politique de santé publique en Afrique, en cas de victoire. Femme du sérail, son parcours plaide en sa faveur pendant que son programme met "la santé au cœur de l’émergence de l’Afrique ". Un challenge pour ce professeur agrégé de médecine à l’efficacité reconnue en Côte d’Ivoire et ailleurs.
Une femme au verbe mesuré, dotée d’un sens aigu de la vertu et ayant une vision novatrice de la politique de la santé pour l’Afrique. Tel est le profil du docteur Thérèse Aya N’DRI- YOMAN, la candidate officielle de la Côte d’Ivoire pour prendre les commandes de la Direction Régionale de l’OMS-Afrique. Une candidature synonyme d’espoir pour une large frange de l’opinion nationale et continentale en vue du renforcement des systèmes de santé. Le choix porté sur la personne de ce professeur agrégé de médecine et ex-ministre de la santé et de la lutte contre le sida a fait l’unanimité au sein du gouvernement ivoirien. Une préférence qui s’explique d’abord et surtout par le pari porté sur une femme du sérail qui ambitionne dans son projet relever le défi de " l’accessibilité à des soins de qualité pour tous, dans un esprit d’équité et de solidarité". Un projet humaniste qui se décline sur plusieurs axes prioritaires ; « le renforcement du système de santé sur la base des soins de santé primaire, l’amélioration du financement de la santé par un plaidoyer pour le relèvement des budgets alloués à la santé, sans omettre l’accélération des interventions liées aux OMD, ainsi que la valorisation des ressources humaines par les systèmes de motivation , de renforcement des capacités…Le tout, sur fond de développement du partenariat et de la multisectorialité en mettant l’accent sur le partenariat public – privé et la création de centres d’excellences régionaux ». Vaste programme pour ce bourreau du travail qui n’a jamais fait mystère de mettre ses compétences au service de l’Afrique.
L’élection de septembre 2014 en ligne de mire.
Dès l’entame de sa riche carrière en 1983 après l’obtention de son doctorat d’Etat à la Faculté de Médecine à l’Université d’Abidjan, Thérèse Aya N’DRI- YOMAN a fait de la gestion et de l’intervention des programmes de santé publique son leitmotiv. Un engagement qui a logiquement marqué les esprits des autorités, de ses pairs universitaires et du monde médical et scientifique. Cela se concrétise très rapidement entre autres, par l’introduction des antiviraux dans le traitement des hépatites virales chroniques et du vaccin contre l’hépatite B dans le PEV de routine. En outre, elle a contribué fortement à l’harmonisation des curricula des formations médicales et des spécialités dans l’espace CEDEAO, à la co-création et au pilotage du Cours Régional d’Epidémiologie et de vaccinologie (EPIVAC) entre 1991 et 2004. Sur tous les fronts à partir de 2006 en sa qualité de directeur général de la santé (2006-2008) d’abord, puis Ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida (2011-2012) ensuite, N’DRI-YOMAN a fait preuve de ses capacités managériales et de leadership en réussissant la restauration du dispositif sanitaire et la reprise de l’offre de soins sur tout le territoire national. Une entreprise pas si évidente d’autant plus que la Côte d’Ivoire sortait d’une grave crise sociopolitique dévastatrice pour son système sanitaire. Ministre de la Santé du 1er gouvernement de Ouattara, elle a été la cheville ouvrière, l’artisane principale de la mise en œuvre de la politique de soins gratuits, mesure faste qui a marqué le début du quinquennat de l’ère Ouattara. « Une nouvelle opportunité pour marquer le retour de la Côte d’Ivoire sur la scène continentale s’offre à nous avec la probabilité de l’élection à l’OMS du professeur N’DRI- YOMAN », a déclaré un haut responsable, fin connaisseur des arcanes de l’organisation mondiale dès l’annonce de la candidature de l’ex-ministre de la santé. Désormais, consciente qu’elle dispose de quelques temps pour convertir son capital sympathie en réservoir électoral, N’DRI YOMAN s’active. Alors que l’élection au poste de directeur régional de l’OMS – Afrique est annoncée pour Septembre 2014, une union sacro-sainte se fait autour de sa candidature avec comme principal chef d’orchestre, le Président Alassane Ouattara lui-même. Signe des temps, sa proximité avec l’OMS s’est consolidée depuis, notamment, lors de l’organisation et la présidence de la 61e section du comité régional à Yamoussoukro en Août 2011, ainsi que la présidence au titre de la région Africaine de l’Assemblée mondiale de la Santé en Mai 2012 à Genève. Une interlocutrice fiable et crédible, avait reconnu le docteur Margaret Chan, la première responsable de l’OMS lors de la cérémonie marquant la fin des travaux dans la capitale politique ivoirienne. Son rôle remarquable dans la lutte contre les Maladies Tropicales Négligées, lui ont valu d’être promu membre expert du groupe consultatif stratégique et technique de l’OMS sur les Maladies Tropicales Négligées.
Première ivoirienne à la direction de l’OMS pour l’Afrique….
Adoubé par l’establishment politique ivoirien, l’on est en mesure d’espérer que l’engouement et la solidarité suscités à l’annonce de sa candidature est une étape qui fera d’elle la première ivoirienne aux commandes de la Direction Afrique de l’OMS. Professionnelle et rigoureuse dans le travail, elle pourra s’entourer des hommes et des femmes de qualité en cas d’élection pour dérouler son ambitieux programme. Conseiller spécial auprès de la Présidence de la République chargé de la santé depuis décembre 2012, ce professeur multicartes (Médecin, Chercheur, Enseignant) a l’étoffe nécessaire pour satisfaire les attentes de la nombreuse population africaine en vue de remplir les Objectifs du Millénaire et du Développement en matière de santé. Perceptible sur le terrain, la création du fond des urgences pour l’Afrique lors de la 61e section du comité régional à Yamoussoukro, tout comme les décrets instituant la gratuité de la césarienne et de l’accouchement ainsi que l’interdiction de fumer dans les lieux publiques et les transports en commun, la vaccination contre le Papilloma Virus Humain chez la jeune fille sont à mettre à l’actif de la candidate de la Côte d’Ivoire. Véritable spécialiste en gestion du système de santé dans des situations complexes et de crises, la Direction de l’OMS pour l’Afrique, aura beaucoup à gagner à s’attacher les services de cette femme d’expérience à une période où la santé est au cœur des préoccupations de développement pour le mieux-être des populations africaines.
Une femme au verbe mesuré, dotée d’un sens aigu de la vertu et ayant une vision novatrice de la politique de la santé pour l’Afrique. Tel est le profil du docteur Thérèse Aya N’DRI- YOMAN, la candidate officielle de la Côte d’Ivoire pour prendre les commandes de la Direction Régionale de l’OMS-Afrique. Une candidature synonyme d’espoir pour une large frange de l’opinion nationale et continentale en vue du renforcement des systèmes de santé. Le choix porté sur la personne de ce professeur agrégé de médecine et ex-ministre de la santé et de la lutte contre le sida a fait l’unanimité au sein du gouvernement ivoirien. Une préférence qui s’explique d’abord et surtout par le pari porté sur une femme du sérail qui ambitionne dans son projet relever le défi de " l’accessibilité à des soins de qualité pour tous, dans un esprit d’équité et de solidarité". Un projet humaniste qui se décline sur plusieurs axes prioritaires ; « le renforcement du système de santé sur la base des soins de santé primaire, l’amélioration du financement de la santé par un plaidoyer pour le relèvement des budgets alloués à la santé, sans omettre l’accélération des interventions liées aux OMD, ainsi que la valorisation des ressources humaines par les systèmes de motivation , de renforcement des capacités…Le tout, sur fond de développement du partenariat et de la multisectorialité en mettant l’accent sur le partenariat public – privé et la création de centres d’excellences régionaux ». Vaste programme pour ce bourreau du travail qui n’a jamais fait mystère de mettre ses compétences au service de l’Afrique.
L’élection de septembre 2014 en ligne de mire.
Dès l’entame de sa riche carrière en 1983 après l’obtention de son doctorat d’Etat à la Faculté de Médecine à l’Université d’Abidjan, Thérèse Aya N’DRI- YOMAN a fait de la gestion et de l’intervention des programmes de santé publique son leitmotiv. Un engagement qui a logiquement marqué les esprits des autorités, de ses pairs universitaires et du monde médical et scientifique. Cela se concrétise très rapidement entre autres, par l’introduction des antiviraux dans le traitement des hépatites virales chroniques et du vaccin contre l’hépatite B dans le PEV de routine. En outre, elle a contribué fortement à l’harmonisation des curricula des formations médicales et des spécialités dans l’espace CEDEAO, à la co-création et au pilotage du Cours Régional d’Epidémiologie et de vaccinologie (EPIVAC) entre 1991 et 2004. Sur tous les fronts à partir de 2006 en sa qualité de directeur général de la santé (2006-2008) d’abord, puis Ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida (2011-2012) ensuite, N’DRI-YOMAN a fait preuve de ses capacités managériales et de leadership en réussissant la restauration du dispositif sanitaire et la reprise de l’offre de soins sur tout le territoire national. Une entreprise pas si évidente d’autant plus que la Côte d’Ivoire sortait d’une grave crise sociopolitique dévastatrice pour son système sanitaire. Ministre de la Santé du 1er gouvernement de Ouattara, elle a été la cheville ouvrière, l’artisane principale de la mise en œuvre de la politique de soins gratuits, mesure faste qui a marqué le début du quinquennat de l’ère Ouattara. « Une nouvelle opportunité pour marquer le retour de la Côte d’Ivoire sur la scène continentale s’offre à nous avec la probabilité de l’élection à l’OMS du professeur N’DRI- YOMAN », a déclaré un haut responsable, fin connaisseur des arcanes de l’organisation mondiale dès l’annonce de la candidature de l’ex-ministre de la santé. Désormais, consciente qu’elle dispose de quelques temps pour convertir son capital sympathie en réservoir électoral, N’DRI YOMAN s’active. Alors que l’élection au poste de directeur régional de l’OMS – Afrique est annoncée pour Septembre 2014, une union sacro-sainte se fait autour de sa candidature avec comme principal chef d’orchestre, le Président Alassane Ouattara lui-même. Signe des temps, sa proximité avec l’OMS s’est consolidée depuis, notamment, lors de l’organisation et la présidence de la 61e section du comité régional à Yamoussoukro en Août 2011, ainsi que la présidence au titre de la région Africaine de l’Assemblée mondiale de la Santé en Mai 2012 à Genève. Une interlocutrice fiable et crédible, avait reconnu le docteur Margaret Chan, la première responsable de l’OMS lors de la cérémonie marquant la fin des travaux dans la capitale politique ivoirienne. Son rôle remarquable dans la lutte contre les Maladies Tropicales Négligées, lui ont valu d’être promu membre expert du groupe consultatif stratégique et technique de l’OMS sur les Maladies Tropicales Négligées.
Première ivoirienne à la direction de l’OMS pour l’Afrique….
Adoubé par l’establishment politique ivoirien, l’on est en mesure d’espérer que l’engouement et la solidarité suscités à l’annonce de sa candidature est une étape qui fera d’elle la première ivoirienne aux commandes de la Direction Afrique de l’OMS. Professionnelle et rigoureuse dans le travail, elle pourra s’entourer des hommes et des femmes de qualité en cas d’élection pour dérouler son ambitieux programme. Conseiller spécial auprès de la Présidence de la République chargé de la santé depuis décembre 2012, ce professeur multicartes (Médecin, Chercheur, Enseignant) a l’étoffe nécessaire pour satisfaire les attentes de la nombreuse population africaine en vue de remplir les Objectifs du Millénaire et du Développement en matière de santé. Perceptible sur le terrain, la création du fond des urgences pour l’Afrique lors de la 61e section du comité régional à Yamoussoukro, tout comme les décrets instituant la gratuité de la césarienne et de l’accouchement ainsi que l’interdiction de fumer dans les lieux publiques et les transports en commun, la vaccination contre le Papilloma Virus Humain chez la jeune fille sont à mettre à l’actif de la candidate de la Côte d’Ivoire. Véritable spécialiste en gestion du système de santé dans des situations complexes et de crises, la Direction de l’OMS pour l’Afrique, aura beaucoup à gagner à s’attacher les services de cette femme d’expérience à une période où la santé est au cœur des préoccupations de développement pour le mieux-être des populations africaines.