Des fioles contenant le virus de la variole ont été découvertes début juillet dans des locaux de l'Agence américaine des médicaments (FDA), dans la banlieue de Washington, rapporte francetvinfo.fr.
Extrêmement contagieux et potentiellement mortel, le virus a été retrouvé dans un recoin d'un local de rangement, au hasard d'un déménagement. Le FBI enquête sur la découverte à la FDA de fioles contenant le virus de la variole, ont annoncé, mardi, les autorités.
Le nom de la maladie était inscrit sur les étiquettes des fioles, conservées dans la banlieue de Washington et qui semblent dater des années 50, ont précisé les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Pour l'instant, rien ne dit qu'elles aient été ouvertes.
Les fioles ont été transportées vers un laboratoire ultra-sécurisé à Atlanta, où vont être menées des analyses pour déterminer si le virus est encore viable ou capable de se développer. Si tel est le cas, les autorités demanderont l'assistance de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les détruire.
Seuls deux lieux de stockage dans le monde ont été homologués par des accords internationaux pour conserver des échantillons de la variole, éradiquée grâce à un programme mondial de vaccination. Le dernier cas a été repéré en Somalie en 1977.
cmas
Extrêmement contagieux et potentiellement mortel, le virus a été retrouvé dans un recoin d'un local de rangement, au hasard d'un déménagement. Le FBI enquête sur la découverte à la FDA de fioles contenant le virus de la variole, ont annoncé, mardi, les autorités.
Le nom de la maladie était inscrit sur les étiquettes des fioles, conservées dans la banlieue de Washington et qui semblent dater des années 50, ont précisé les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Pour l'instant, rien ne dit qu'elles aient été ouvertes.
Les fioles ont été transportées vers un laboratoire ultra-sécurisé à Atlanta, où vont être menées des analyses pour déterminer si le virus est encore viable ou capable de se développer. Si tel est le cas, les autorités demanderont l'assistance de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les détruire.
Seuls deux lieux de stockage dans le monde ont été homologués par des accords internationaux pour conserver des échantillons de la variole, éradiquée grâce à un programme mondial de vaccination. Le dernier cas a été repéré en Somalie en 1977.
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