Man - Le Secrétaire général 1 de la Préfecture de Man, Gnangbi Diby Victor a présidé ce jeudi la cérémonie d’ouverture officielle d’une clinique du diabète et de l’hypertension artérielle au centre hospitalier régional (CHR) de Man.
Ouvert avec l’appui du laboratoire pharmaceutique SONOFI, le centre de prise en charge des diabétiques et hypertendus "contribuera à la réduction de la morbidité et de la mortalité liées au diabète et à l’hypertension artérielle dans la la zone de couverture du CHR de Man".
Il s’agit d’amener au moins 50 % de la population diabétique et hyperytendue de la zone de couverture du CHR de Man à se faire suivre dans la clinique ouverte et sensibiliser autant de pourcentage de la population sur les maladies métaboliques (diabète et hypertension).
Il s’agit également d’amener 50 % de la population à adhérer aux activités de la clinique du diabète et de l’hypertension du CHR de Man.
A l’instar des autres pays africains, la Côte d’Ivoire connaît "une nouvelle transition épidémiologique" caractérisée par l’émergence des maladies métaboliques. Le diabète sucré apparaît de loin comme chef de fil de ces affections, note-t-on.
La fédération internationale du diabète estime la prévalence en Afrique subsaharienne à 7,1 millions en 2000 et 14,7 millions en 2011 et fait une projection de 28 millions de malades en 2030.
Il s’agit notamment de diabète de type 2 dont l’ampleur est telle que l’on parle d’épidémie qui de ce fait, souligne-t-on, n’épargne pas la Côte d’Ivoire où la prévalence du diabète sucré est de 5,7 %.
Le diabète est "une affection qui s’accompagne d’une morbidité et d’une mortalité manifestement fortes". Bien que mal documentée l’acuité est perceptible en raison de la prévalence élevée des complications aigües (comas métaboliques) et chroniques à incidence cardio-vasculaire et néphrologiques indique les spécialistes.
L’ouverture de la clinique du CHR de Man est la première activité de déconcentration de la prise en charge des malades de diabète et d’hypertension prévue en 2014 à l’intérieur du pays. La prochaine clinique ouvrira à Bondoukou.
(AIP)
gem/ask
Ouvert avec l’appui du laboratoire pharmaceutique SONOFI, le centre de prise en charge des diabétiques et hypertendus "contribuera à la réduction de la morbidité et de la mortalité liées au diabète et à l’hypertension artérielle dans la la zone de couverture du CHR de Man".
Il s’agit d’amener au moins 50 % de la population diabétique et hyperytendue de la zone de couverture du CHR de Man à se faire suivre dans la clinique ouverte et sensibiliser autant de pourcentage de la population sur les maladies métaboliques (diabète et hypertension).
Il s’agit également d’amener 50 % de la population à adhérer aux activités de la clinique du diabète et de l’hypertension du CHR de Man.
A l’instar des autres pays africains, la Côte d’Ivoire connaît "une nouvelle transition épidémiologique" caractérisée par l’émergence des maladies métaboliques. Le diabète sucré apparaît de loin comme chef de fil de ces affections, note-t-on.
La fédération internationale du diabète estime la prévalence en Afrique subsaharienne à 7,1 millions en 2000 et 14,7 millions en 2011 et fait une projection de 28 millions de malades en 2030.
Il s’agit notamment de diabète de type 2 dont l’ampleur est telle que l’on parle d’épidémie qui de ce fait, souligne-t-on, n’épargne pas la Côte d’Ivoire où la prévalence du diabète sucré est de 5,7 %.
Le diabète est "une affection qui s’accompagne d’une morbidité et d’une mortalité manifestement fortes". Bien que mal documentée l’acuité est perceptible en raison de la prévalence élevée des complications aigües (comas métaboliques) et chroniques à incidence cardio-vasculaire et néphrologiques indique les spécialistes.
L’ouverture de la clinique du CHR de Man est la première activité de déconcentration de la prise en charge des malades de diabète et d’hypertension prévue en 2014 à l’intérieur du pays. La prochaine clinique ouvrira à Bondoukou.
(AIP)
gem/ask