Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé produit il y a douze ans et récemment remis au goût du jour, la faible consommation de fruits et légumes figure parmi les dix principaux facteurs de risque de mortalité. Le rapport conclut que, jusqu’à 1,7 million de vies pourraient être épargnées chaque année, moyennant une consommation suffisante de fruits et légumes au niveau mondial.
« En tant qu’éléments de l’alimentation quotidienne, les fruits et légumes pourraient contribuer à prévenir les principales maladies non transmissibles telles que les maladies cardiovasculaires et certains cancers », précise le rapport qui révèle que « jusqu’à 1,7 million de vies pourraient être épargnées chaque année, moyennant une consommation suffisante de fruits et légumes. » Le document ajoute que « la faible consommation de fruits et légumes figure parmi les dix principaux facteurs de risque de la mortalité mondiale. » Et souligne que, « à l’échelle de la planète, on estime que la consommation insuffisante de fruits et légumes est responsable de près de 19% des cancers gastro-intestinaux, 31% des cardiopathies ischémiques et 11% des accidents vasculaires cérébraux. » Enfin, les rédacteurs du document rappellent que « le fait de manger des fruits et légumes variés permet clairement de consommer en quantité appropriée la plupart des micronutriments, des fibres alimentaires et diverses substances non nutritives essentielles. De même, une plus grande consommation de fruits et légumes peut contribuer à remplacer les aliments riches en graisses saturées, en sucre ou en sel. » Il convient de préciser que la charge de morbidité mondiale imputable à la faible consommation de fruits et légumes se répartit entre les maladies cardiovasculaires pour près de 85%, et les cancers pour 15%. Les niveaux de consommation de fruits et légumes estimés actuellement varient considérablement dans le monde, allant de moins de 100 g par jour dans les pays les moins développés à près de 450 g par jour en Europe occidentale.
Un second rapport conjointement publié avec le Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) et l’OMS sur l’alimentation, la nutrition et la prévention des maladies chroniques, fixe les objectifs en matière de nutriments pour la population et recommande une consommation d’un minimum de 400 g de fruits et légumes par jour pour la prévention des maladies chroniques telles que les cardiopathies, le cancer, le diabète et l’obésité.
Y.T
Source OMS
« En tant qu’éléments de l’alimentation quotidienne, les fruits et légumes pourraient contribuer à prévenir les principales maladies non transmissibles telles que les maladies cardiovasculaires et certains cancers », précise le rapport qui révèle que « jusqu’à 1,7 million de vies pourraient être épargnées chaque année, moyennant une consommation suffisante de fruits et légumes. » Le document ajoute que « la faible consommation de fruits et légumes figure parmi les dix principaux facteurs de risque de la mortalité mondiale. » Et souligne que, « à l’échelle de la planète, on estime que la consommation insuffisante de fruits et légumes est responsable de près de 19% des cancers gastro-intestinaux, 31% des cardiopathies ischémiques et 11% des accidents vasculaires cérébraux. » Enfin, les rédacteurs du document rappellent que « le fait de manger des fruits et légumes variés permet clairement de consommer en quantité appropriée la plupart des micronutriments, des fibres alimentaires et diverses substances non nutritives essentielles. De même, une plus grande consommation de fruits et légumes peut contribuer à remplacer les aliments riches en graisses saturées, en sucre ou en sel. » Il convient de préciser que la charge de morbidité mondiale imputable à la faible consommation de fruits et légumes se répartit entre les maladies cardiovasculaires pour près de 85%, et les cancers pour 15%. Les niveaux de consommation de fruits et légumes estimés actuellement varient considérablement dans le monde, allant de moins de 100 g par jour dans les pays les moins développés à près de 450 g par jour en Europe occidentale.
Un second rapport conjointement publié avec le Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) et l’OMS sur l’alimentation, la nutrition et la prévention des maladies chroniques, fixe les objectifs en matière de nutriments pour la population et recommande une consommation d’un minimum de 400 g de fruits et légumes par jour pour la prévention des maladies chroniques telles que les cardiopathies, le cancer, le diabète et l’obésité.
Y.T
Source OMS