Korhogo– Le directeur régional du Centre national de recherche agronomique (CNRA), Dr N’guessan Anjelo appelle les collectivités locales, les ONG et partenaires du secteur privé à réhabiliter le barrage qui alimente la station de recherche de Lataha (Korhogo, Nord).
Dr N'Guessan relève dans un entretien, samedi à l'AIP qu’avec la crise militaro-politique survenue en 2002, les installations de ce barrage sont désuettes notamment "la vanne qui permet de réguler les apports d’eau n’est plus fonctionnelle". Cela entraîne un manque d'eau pour les recherches du centre et pour l'irrigation des cultures des agriculteurs dont les exploitations sont en aval de ce barrage.
Il souligne en outre que la station ne dispose pas d’un groupe de pompage d'eau électrique, ce qui rend difficile le suivi du retrait d'eau, ajoutant à cela les difficultés de trésorerie qui ne facilitent pas la prise de mesures palliatives à savoir l'utilisation d'un moteur diesel.
Créé en 1998, le CNRA a pour but de coordonner la recherche agronomique, afin d’obtenir de meilleurs résultats. Sa mission est "d’initier et d’exécuter des recherches, en vue d’améliorer les rendements des cultures destinées à l’exportation et la productivité des cultures vivrières".
(AIP)
apk/ask
Dr N'Guessan relève dans un entretien, samedi à l'AIP qu’avec la crise militaro-politique survenue en 2002, les installations de ce barrage sont désuettes notamment "la vanne qui permet de réguler les apports d’eau n’est plus fonctionnelle". Cela entraîne un manque d'eau pour les recherches du centre et pour l'irrigation des cultures des agriculteurs dont les exploitations sont en aval de ce barrage.
Il souligne en outre que la station ne dispose pas d’un groupe de pompage d'eau électrique, ce qui rend difficile le suivi du retrait d'eau, ajoutant à cela les difficultés de trésorerie qui ne facilitent pas la prise de mesures palliatives à savoir l'utilisation d'un moteur diesel.
Créé en 1998, le CNRA a pour but de coordonner la recherche agronomique, afin d’obtenir de meilleurs résultats. Sa mission est "d’initier et d’exécuter des recherches, en vue d’améliorer les rendements des cultures destinées à l’exportation et la productivité des cultures vivrières".
(AIP)
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