Korhogo - Le directeur régional du Centre national de recherche agronomiques (CNRA) de Korhogo (Nord), Dr N’Guessan Angelo préconise un renforcement de le recherche, afin d'améliorer la production de la mangue, l'une des sources de revenus des agriculteurs de la région, expliquant qu'il faut en cela "stimuler les plantes surtout que les conditions climatiques influent sur le rendement et la qualité des mangues".
Il s'agit de "l’irrigation de complément, l’utilisation de l’engrais" de sorte à permettre une "floraison à temps" des manguiers, la sélection et le croisement des variétés rentables, afin d'avoir des manguiers qui produisent d'avril à mi-mai, permettant ainsi aux exportateurs et aux commerçants de tirer le maximum de profit de leurs activités", a expliqué l'expert du CNRA.
"Si la recherche n’anticipe pas pour trouver des solutions, nous allons nous retrouver d’ici cinq à 10 ans avec nos vergers, fleurir, produire et récolter à partir de mai ou juin et juillet et vraiment vous verrez que les producteurs vont abandonner car les mangues ne seront pas de bonne qualité", a prévenu Dr N'Guessan.
Il souligne que "c’est un challenge pour lequel le CRNA est entrain de prendre des dispositions pour vraiment répondre aux préoccupations des producteurs bien que la recherche prend du temps et coûte cher".
Le directeur régional du CNRA sollicite donc un soutien de la part de structures privées, d’organisme internationaux ou des collectivités locales.
(AIP)
apk/ask
Il s'agit de "l’irrigation de complément, l’utilisation de l’engrais" de sorte à permettre une "floraison à temps" des manguiers, la sélection et le croisement des variétés rentables, afin d'avoir des manguiers qui produisent d'avril à mi-mai, permettant ainsi aux exportateurs et aux commerçants de tirer le maximum de profit de leurs activités", a expliqué l'expert du CNRA.
"Si la recherche n’anticipe pas pour trouver des solutions, nous allons nous retrouver d’ici cinq à 10 ans avec nos vergers, fleurir, produire et récolter à partir de mai ou juin et juillet et vraiment vous verrez que les producteurs vont abandonner car les mangues ne seront pas de bonne qualité", a prévenu Dr N'Guessan.
Il souligne que "c’est un challenge pour lequel le CRNA est entrain de prendre des dispositions pour vraiment répondre aux préoccupations des producteurs bien que la recherche prend du temps et coûte cher".
Le directeur régional du CNRA sollicite donc un soutien de la part de structures privées, d’organisme internationaux ou des collectivités locales.
(AIP)
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