« Mettre un enfant a l’école n’est pas un crime et éviter le mariage précoce n’est pas contre l’islam ».
La communauté Peulh pour l’éducation des enfants et la lutte contre les mariages précoces (ONG CPEM) réunie autour d’une organisation non gouvernementale a lancé ses activités au lendemain de la fête de ramadan ou l’aid el- fitr. C’était dans la nuit du 29 au 30 juillet 2014 dans la somptueuse résidence de feu le ministre Balla Keita située au quartier ‘’banaforo’’ de la commune de Korhogo au nord de la Côte d’Ivoire .En effet connus comme des normandes à travers l’élevage et la surveillance du bétail cette organisation non gouvernementale veut révolutionner la conscience de la communauté à se mettre dans le train de l’émergence de la Côte d ‘Ivoire à l’horizon 2020 prôner par le président de la république Alassane Ouattara en laissant tomber des pratiques qui n’honorent plus de nos jours a dit Cissé Adama président de l’ONG CPEM. « Mettre un enfant à l’école n’est pas un
crime et éviter le mariage précoce n’est pas contre l’islam ».
Des délégations peulhs sont venues de toutes les régions et villes du district des savanes ‘’tchologo, bagoué , poro’’ korhogo Ferké, Boundiali, Tengrela sinematiali, napié karakoro kafiokaha…) pour assister à cette reprise des activités de l’ONG relocalisée à korhogo après deux années passées à Abidjan (Port Bouet) . Au son de la musique originelle d’un orchestre traditionnel composé de calebasses, de guitare et violon hommes et femmes ont exhibé des pas de danses pour célébrer l’événement. Parrainé par le député de Napié vice président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire Silué Kagnon Augustin. Koné Makoura la porte parole du comité d’organisation a présenté les objectifs qui sont entre autres promotion du droit à l’éducation, promotion des droits de l’homme et lutte contre l’excision.
Nous voulons faire la proximité en sensibilisant nos parents à mettre les enfants à l’école en dehors de la surveillance du bétail et surtout à abolir le mariage précoce a indiqué Barry Ibrahim secrétaire général de la structure communautaire. « Dans notre communauté ont peut prendre une fille de 15 ans qui se trouve à l’école ou pas et donner en mariage .Du coup ça coupe la base de l’éducation .Ensuite la communauté peulh n’a aucune information sur le sida . De nombreux enfants n’ont pas d’extrait de naissance parce que les naissances ne sont pas déclarées à l’état civil or nous devons nous mettre en règle dans notre pays d’accueil ou nous vivons depuis des générations. Nous voulons être les portes paroles de cette communauté auprès des structures étatiques et institutions communautaires et de développement car chez nous personne ne vient à la base pour aider les peuls à se
développer… » a en outre précisé Barry .
Pour le représentant du parrain Coulibaly Amidou Il faut la mise sur pied d’un programme d’activité centré sur la communication pour le changement des mentalités afin d’atteindre les populations cibles. Et en fonction des objectifs et des thèmes fiables des organismes qui y mènent des combats pourront les appuyer en plus du soutien du vice président de l’assemblée nationale. Rappelons que c’est depuis 2012 que l’ong cpem exerce ses activités après l’obtention du récépissé de dépôt no 2307/pa du 23 octobre 2012 dont le doyen Bakayoko Siriki en est le président d’honneur.
La communauté Peulh pour l’éducation des enfants et la lutte contre les mariages précoces (ONG CPEM) réunie autour d’une organisation non gouvernementale a lancé ses activités au lendemain de la fête de ramadan ou l’aid el- fitr. C’était dans la nuit du 29 au 30 juillet 2014 dans la somptueuse résidence de feu le ministre Balla Keita située au quartier ‘’banaforo’’ de la commune de Korhogo au nord de la Côte d’Ivoire .En effet connus comme des normandes à travers l’élevage et la surveillance du bétail cette organisation non gouvernementale veut révolutionner la conscience de la communauté à se mettre dans le train de l’émergence de la Côte d ‘Ivoire à l’horizon 2020 prôner par le président de la république Alassane Ouattara en laissant tomber des pratiques qui n’honorent plus de nos jours a dit Cissé Adama président de l’ONG CPEM. « Mettre un enfant à l’école n’est pas un
crime et éviter le mariage précoce n’est pas contre l’islam ».
Des délégations peulhs sont venues de toutes les régions et villes du district des savanes ‘’tchologo, bagoué , poro’’ korhogo Ferké, Boundiali, Tengrela sinematiali, napié karakoro kafiokaha…) pour assister à cette reprise des activités de l’ONG relocalisée à korhogo après deux années passées à Abidjan (Port Bouet) . Au son de la musique originelle d’un orchestre traditionnel composé de calebasses, de guitare et violon hommes et femmes ont exhibé des pas de danses pour célébrer l’événement. Parrainé par le député de Napié vice président de l’assemblée nationale de Côte d’Ivoire Silué Kagnon Augustin. Koné Makoura la porte parole du comité d’organisation a présenté les objectifs qui sont entre autres promotion du droit à l’éducation, promotion des droits de l’homme et lutte contre l’excision.
Nous voulons faire la proximité en sensibilisant nos parents à mettre les enfants à l’école en dehors de la surveillance du bétail et surtout à abolir le mariage précoce a indiqué Barry Ibrahim secrétaire général de la structure communautaire. « Dans notre communauté ont peut prendre une fille de 15 ans qui se trouve à l’école ou pas et donner en mariage .Du coup ça coupe la base de l’éducation .Ensuite la communauté peulh n’a aucune information sur le sida . De nombreux enfants n’ont pas d’extrait de naissance parce que les naissances ne sont pas déclarées à l’état civil or nous devons nous mettre en règle dans notre pays d’accueil ou nous vivons depuis des générations. Nous voulons être les portes paroles de cette communauté auprès des structures étatiques et institutions communautaires et de développement car chez nous personne ne vient à la base pour aider les peuls à se
développer… » a en outre précisé Barry .
Pour le représentant du parrain Coulibaly Amidou Il faut la mise sur pied d’un programme d’activité centré sur la communication pour le changement des mentalités afin d’atteindre les populations cibles. Et en fonction des objectifs et des thèmes fiables des organismes qui y mènent des combats pourront les appuyer en plus du soutien du vice président de l’assemblée nationale. Rappelons que c’est depuis 2012 que l’ong cpem exerce ses activités après l’obtention du récépissé de dépôt no 2307/pa du 23 octobre 2012 dont le doyen Bakayoko Siriki en est le président d’honneur.
