Divo, Le président du Conseil régional du Lôh-Djiboua (Divo), Zakpa Komenan, se dit "satisfait" des premières recettes engrangées après l’opération de collectes de fonds sur les marchés villageois qu’il a initiée récemment.
"Les résultats sont assez satisfaisants. Nous avons identifié 102 marchés. Pour l’instant, il y a véritablement 36 marchés qui fonctionnent. Ce que nous commençons à avoir nous permet d’espérer", s’est réjoui M. Zakpa, samedi, lors d’une cérémonie dans le village de Gbazo, à 25 km de Divo, dans la sous-préfecture de Didoko.
Il a exhorté les populations à continuer de collaborer avec les collecteurs car les fonds récoltés vont renflouer les caisses du Conseil régional et permettre d’entreprendre des projets d’intérêt communautaire comme l’adduction en eau potable, l’ouverture des routes villageoises et l’électrification.
"Entre zéro et quelque chose, il y a une marge. Aujourd’hui, on peut avoir 1,2 million. On n’avait pas cela. C’est beaucoup et nous ferons mieux avec la participation de tout le monde", a-t-il expliqué.
Selon une clé de répartition mûrement étudiée par les experts du Conseil régional, la moitié des taxes prélevées sur les marchés revient aux villageois et agents collecteurs. L’autre moitié va dans les caisses du Conseil régional, pour lui permettre d’assurer sa mission de développement.
Commencée timidement, cette initiative locale entre peu à peu dans les habitudes des commerçants des villages. Toute chose qui permet aux conseillers régionaux d’envisager l’avenir avec beaucoup plus d’optimisme sans tout attendre de l’Etat.
"L’Etat a tant de dépenses à faire qu’on ne peut pas toujours tout attendre de lui", a déclaré Zakpa Komenan.
(AIP)
gso/kkp/ask
"Les résultats sont assez satisfaisants. Nous avons identifié 102 marchés. Pour l’instant, il y a véritablement 36 marchés qui fonctionnent. Ce que nous commençons à avoir nous permet d’espérer", s’est réjoui M. Zakpa, samedi, lors d’une cérémonie dans le village de Gbazo, à 25 km de Divo, dans la sous-préfecture de Didoko.
Il a exhorté les populations à continuer de collaborer avec les collecteurs car les fonds récoltés vont renflouer les caisses du Conseil régional et permettre d’entreprendre des projets d’intérêt communautaire comme l’adduction en eau potable, l’ouverture des routes villageoises et l’électrification.
"Entre zéro et quelque chose, il y a une marge. Aujourd’hui, on peut avoir 1,2 million. On n’avait pas cela. C’est beaucoup et nous ferons mieux avec la participation de tout le monde", a-t-il expliqué.
Selon une clé de répartition mûrement étudiée par les experts du Conseil régional, la moitié des taxes prélevées sur les marchés revient aux villageois et agents collecteurs. L’autre moitié va dans les caisses du Conseil régional, pour lui permettre d’assurer sa mission de développement.
Commencée timidement, cette initiative locale entre peu à peu dans les habitudes des commerçants des villages. Toute chose qui permet aux conseillers régionaux d’envisager l’avenir avec beaucoup plus d’optimisme sans tout attendre de l’Etat.
"L’Etat a tant de dépenses à faire qu’on ne peut pas toujours tout attendre de lui", a déclaré Zakpa Komenan.
(AIP)
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