Des chercheurs ont découvert de nouvelles mutations génétiques qui accroissent de 35% la probabilité de cancer chez des femmes non-porteuses des variations des gènes BRCA1/2, déjà connus pour augmenter ce risque.
Leurs travaux ont été publiés le 7 août dans The New England Journal of Medecine.
La nouvelle mutation concerne un gène appelé PALB2. Les chercheurs ont analysé les données médicales et génétiques provenant de 154 familles dans huit pays, parmi lesquelles 362 femmes étaient porteuses de mutations de ce gène.
"Depuis la découverte des mutations des gènes BRCA1 et BRCA2 dans le milieu des années 1990, aucun autre gène d'une importance similaire pour le cancer du sein n'avait été découvert", souligne le Dr Marc Tischkowitz, du Département de génétique médicale à l'Université de Cambridge au Royaume-Uni, principal auteur de l'étude.
Seule une très petite proportion de femmes dans le monde sont porteuses de ces mutations du gène PALB2 et les auteurs de l'étude soulignent que des recherches supplémentaires sont nécessaires en savoir plus.
cmas
Leurs travaux ont été publiés le 7 août dans The New England Journal of Medecine.
La nouvelle mutation concerne un gène appelé PALB2. Les chercheurs ont analysé les données médicales et génétiques provenant de 154 familles dans huit pays, parmi lesquelles 362 femmes étaient porteuses de mutations de ce gène.
"Depuis la découverte des mutations des gènes BRCA1 et BRCA2 dans le milieu des années 1990, aucun autre gène d'une importance similaire pour le cancer du sein n'avait été découvert", souligne le Dr Marc Tischkowitz, du Département de génétique médicale à l'Université de Cambridge au Royaume-Uni, principal auteur de l'étude.
Seule une très petite proportion de femmes dans le monde sont porteuses de ces mutations du gène PALB2 et les auteurs de l'étude soulignent que des recherches supplémentaires sont nécessaires en savoir plus.
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