Une nouvelle usine de cimenterie va voir le jour en septembre 2015, au PK 20, sur l’autoroute du nord. La première pierre sera posée en décembre prochain. C’est l’œuvre d’une société naissante dénommée Limak Afrika S.A, partenariat entre l’entreprise ivoirienne Afrikbat S.A et le groupe turc Limak group of companies.
Selon le président de la partie ivoirienne, Edoh Jean-Claude Ayanou, qui a animé un point de presse, le mercredi 13 aout dernier, au siège de son entreprise, le déploiement de la cimenterie se fera en trois phases. «La toute première et imminente portera sur un investissement de 25 milliards FCFA destinés à la construction d’une cimenterie de 120.000 m2, ayant une capacité annuelle de 1 million de tonnes et d’une centrale à béton d’une capacité de 1 million m3. La deuxième phase portera sur la mise en place dune unité de production de graviers concassés, une unité de production d’éléments préfabriqués béton, et une unité industrielle de fabrication de brisques. La troisième phase portera sur le renforcement des unités de production existantes», a-t-il expliqué. Toujours selon lui, c’est près de 100 milliards FCFA qui sont prévus pour être investis «afin de pouvoir se constituer un hub en Côte d’Ivoire à partir duquel les exportations vers les autres pays se feront».
J-S L.
Selon le président de la partie ivoirienne, Edoh Jean-Claude Ayanou, qui a animé un point de presse, le mercredi 13 aout dernier, au siège de son entreprise, le déploiement de la cimenterie se fera en trois phases. «La toute première et imminente portera sur un investissement de 25 milliards FCFA destinés à la construction d’une cimenterie de 120.000 m2, ayant une capacité annuelle de 1 million de tonnes et d’une centrale à béton d’une capacité de 1 million m3. La deuxième phase portera sur la mise en place dune unité de production de graviers concassés, une unité de production d’éléments préfabriqués béton, et une unité industrielle de fabrication de brisques. La troisième phase portera sur le renforcement des unités de production existantes», a-t-il expliqué. Toujours selon lui, c’est près de 100 milliards FCFA qui sont prévus pour être investis «afin de pouvoir se constituer un hub en Côte d’Ivoire à partir duquel les exportations vers les autres pays se feront».
J-S L.
