Un séminaire sur la reforme du secteur de la sécurité (RSS) a été organisé, mardi, à Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué) par le Conseil national de la sécurité (CNS).
Ce séminaire dont le thème est "la dimension locale de la RSS en Côte d’Ivoire" s’adresse aux acteurs de la société civile, le corps préfectoral, aux organisations de femmes et jeunes, des leaders communautaires et religieux, responsables des partis politiques et correspondants de presse de Bouaflé.
Le responsable du suivi de la RSS en Côte d’Ivoire, Dr Kouassi Lenoir Emmanuel a indiqué que cette reforme est une innovation du Président de la République, Alassane Ouattara par la mise en place d’un nouveau concept, celui de la sécurité humaine qui naturellement englobe les droits de l’homme, la bonne gouvernance, l’accès à l’éducation, aux soins de santé, ainsi que toutes les possibilités offertes à chaque individu pour réaliser son potentiel.
"Nous attendons également de la population qu’elle soit actrice à côté de l’Etat qui ne sera plus compétent pour produire et conduire la sécurité mais, l’Etat le fera avec la population en tant que partenaire afin que cela soit effectif", a-t-il fait savoir, soulignant que ce concept ne peut être opérationnel que si la population s’approprie le contenu.
M. Lenoir a souligné que l’initiative de la mise en œuvre de la RSS est partie du constat que l’insécurité a atteint des proportions et que les instruments étatiques n’arrivent pas à régler le problème.
Selon le responsable du suivi de la RSS, Il est important que ces instruments étatiques "soient reformés et transformés pour être efficaces" et d’appeler à la propre responsabilité de la population dans la collaboration avec les forces étatiques.
Plusieurs modules ont meublé ce séminaire, notamment la RSS en Côte d’Ivoire, l’appui de l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) à la RSS et la mise en place et gestion des comités régionaux de sécurité.
La RSS qui est l’ensemble des mesures prises par l’autorité politique en vue de transformer tous les acteurs et institutions en charge de la sécurité a été adoptée en 2012 et mise en œuvre en 2013.
Zaar/ask
Ce séminaire dont le thème est "la dimension locale de la RSS en Côte d’Ivoire" s’adresse aux acteurs de la société civile, le corps préfectoral, aux organisations de femmes et jeunes, des leaders communautaires et religieux, responsables des partis politiques et correspondants de presse de Bouaflé.
Le responsable du suivi de la RSS en Côte d’Ivoire, Dr Kouassi Lenoir Emmanuel a indiqué que cette reforme est une innovation du Président de la République, Alassane Ouattara par la mise en place d’un nouveau concept, celui de la sécurité humaine qui naturellement englobe les droits de l’homme, la bonne gouvernance, l’accès à l’éducation, aux soins de santé, ainsi que toutes les possibilités offertes à chaque individu pour réaliser son potentiel.
"Nous attendons également de la population qu’elle soit actrice à côté de l’Etat qui ne sera plus compétent pour produire et conduire la sécurité mais, l’Etat le fera avec la population en tant que partenaire afin que cela soit effectif", a-t-il fait savoir, soulignant que ce concept ne peut être opérationnel que si la population s’approprie le contenu.
M. Lenoir a souligné que l’initiative de la mise en œuvre de la RSS est partie du constat que l’insécurité a atteint des proportions et que les instruments étatiques n’arrivent pas à régler le problème.
Selon le responsable du suivi de la RSS, Il est important que ces instruments étatiques "soient reformés et transformés pour être efficaces" et d’appeler à la propre responsabilité de la population dans la collaboration avec les forces étatiques.
Plusieurs modules ont meublé ce séminaire, notamment la RSS en Côte d’Ivoire, l’appui de l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) à la RSS et la mise en place et gestion des comités régionaux de sécurité.
La RSS qui est l’ensemble des mesures prises par l’autorité politique en vue de transformer tous les acteurs et institutions en charge de la sécurité a été adoptée en 2012 et mise en œuvre en 2013.
Zaar/ask
