La Côte d'Ivoire perd près de 200. 000 hectares de forêts chaque année, a-t-on appris samedi auprès des autorités forestières ivoiriennes.
"Entre 150.000 et 200.000 hectares de forêts disparaissent chaque année dans le pays occasionnant une perte économique importante et un assèchement des cours d'eau ainsi qu'un réchauffement climatique", a révélé le ministre ivoirien en charge des Eaux et forêts Mathieu Babaut Darret lors d'un entretien avec des médias.
"Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire n'atteint pas 20% de couvert forestier alors qu'elle en avait 16 millions d'hectares en 1960",a déploré par ailleurs M. Babaut Darret.
Il a ainsi plaidé pour une synergie d'actions pour une gestion durable des forêts du pays dont la destruction a atteint "des proportions inquiétantes".
Selon lui, il faut accroitre les ressources forestières du pays et pour cela, il importe de mener des actions fortes contre la déforestation.
"Face à une telle situation, nous ne devons plus baisser les bras. Nous devons lutter contre la catastrophe écologique et naturelle. C'est pourquoi, nous prévoyons l'organisation des états généraux de la flore et de la faune", a-t-il souligné.
Le ministre ivoirien s'est réjoui de l'organisation chaque année dans le pays de la journée nationale de l'arbre, expression de la volonté politique du gouvernement ivoirien de formaliser l'adhésion populaire en faveur de la restauration du couvert forestier.
"Cette journée vise à formaliser l'importance vitale de l'arbre et de la forêt dans notre environnement et son rôle dans le développement économique et social du pays. Elle vise surtout à susciter chez le citoyen, l'amour et le respect de la nature, en particulier la flore et la faune pour une prise de conscience nationale en vue d'une gestion durable de notre patrimoine forestier", a-t-il expliqué.
L'exploitation forestière abusive, clandestine et illégale constitue une préoccupation pour le gouvernement ivoirien.
Dans sa lutte contre le fléau, le gouvernement ivoirien a décidé de réprimer tout acte de déforestation.
"Entre 150.000 et 200.000 hectares de forêts disparaissent chaque année dans le pays occasionnant une perte économique importante et un assèchement des cours d'eau ainsi qu'un réchauffement climatique", a révélé le ministre ivoirien en charge des Eaux et forêts Mathieu Babaut Darret lors d'un entretien avec des médias.
"Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire n'atteint pas 20% de couvert forestier alors qu'elle en avait 16 millions d'hectares en 1960",a déploré par ailleurs M. Babaut Darret.
Il a ainsi plaidé pour une synergie d'actions pour une gestion durable des forêts du pays dont la destruction a atteint "des proportions inquiétantes".
Selon lui, il faut accroitre les ressources forestières du pays et pour cela, il importe de mener des actions fortes contre la déforestation.
"Face à une telle situation, nous ne devons plus baisser les bras. Nous devons lutter contre la catastrophe écologique et naturelle. C'est pourquoi, nous prévoyons l'organisation des états généraux de la flore et de la faune", a-t-il souligné.
Le ministre ivoirien s'est réjoui de l'organisation chaque année dans le pays de la journée nationale de l'arbre, expression de la volonté politique du gouvernement ivoirien de formaliser l'adhésion populaire en faveur de la restauration du couvert forestier.
"Cette journée vise à formaliser l'importance vitale de l'arbre et de la forêt dans notre environnement et son rôle dans le développement économique et social du pays. Elle vise surtout à susciter chez le citoyen, l'amour et le respect de la nature, en particulier la flore et la faune pour une prise de conscience nationale en vue d'une gestion durable de notre patrimoine forestier", a-t-il expliqué.
L'exploitation forestière abusive, clandestine et illégale constitue une préoccupation pour le gouvernement ivoirien.
Dans sa lutte contre le fléau, le gouvernement ivoirien a décidé de réprimer tout acte de déforestation.