Abidjan - Le fait de n’enregistrer, à ce jour, aucun cas d’Ebola, alors que la maladie continue de se propager et de faire des victimes dans plusieurs Etats Ouest africains, "oblige" la Côte d’Ivoire à redoubler de vigilance, a estimé, lundi, la patronne de l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Aïchatou Mindaoudou, réitérant l’engagement de la mission à accompagner le gouvernement dans ce sens.
La Représente de Ban Ki Moon sortait d’une audience que lui a accordée, en fin de matinée, le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara et, au cours de laquelle, les deux personnalités ont notamment discuté du dispositif préventif mis en place par le pays et de l’accompagnement qu’apporte ou pourrait y apporter le système des Nations Unies en général et l’ONUCI en particulier.
Déclenchée dans le premier trimestre de l’année en Guinée, une épidémie d’Ebola qui s’est par la suite étendue au Libéria, à la Sierra Leone et tout récemment au Nigéria et au Sénégal sévit actuellement en Afrique de l’Ouest avec des risques de propagation au monde entier. La maladie a causé à ce jour quelque 1500 morts.
La Côte d’Ivoire n’enregistre aucun cas. Le pays a toutefois arrêté une batterie de mesures pour se prémunir, exécutées avec le soutien de partenaires du système des Nations Unies notamment l’OMS et l’ONUCI.
L’ONUCI appuie déjà, selon Mme Mindaoudou, les autorités ivoiriennes dans le cadre de la surveillance des frontières. Elle intervient aussi en matière de communication pour la sensibilisation des populations.
"S’il y a d’autres domaines dans lesquels l’ONUCI pourrait apporter son appui, nous sommes ouvert à l’étudier pour aider à la sensibilisation, pour accompagner le gouvernement dans la mise en œuvre de la stratégie qu’il a définie", a-t-elle affirmé en outre.
(AIP)
kg/kam
La Représente de Ban Ki Moon sortait d’une audience que lui a accordée, en fin de matinée, le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara et, au cours de laquelle, les deux personnalités ont notamment discuté du dispositif préventif mis en place par le pays et de l’accompagnement qu’apporte ou pourrait y apporter le système des Nations Unies en général et l’ONUCI en particulier.
Déclenchée dans le premier trimestre de l’année en Guinée, une épidémie d’Ebola qui s’est par la suite étendue au Libéria, à la Sierra Leone et tout récemment au Nigéria et au Sénégal sévit actuellement en Afrique de l’Ouest avec des risques de propagation au monde entier. La maladie a causé à ce jour quelque 1500 morts.
La Côte d’Ivoire n’enregistre aucun cas. Le pays a toutefois arrêté une batterie de mesures pour se prémunir, exécutées avec le soutien de partenaires du système des Nations Unies notamment l’OMS et l’ONUCI.
L’ONUCI appuie déjà, selon Mme Mindaoudou, les autorités ivoiriennes dans le cadre de la surveillance des frontières. Elle intervient aussi en matière de communication pour la sensibilisation des populations.
"S’il y a d’autres domaines dans lesquels l’ONUCI pourrait apporter son appui, nous sommes ouvert à l’étudier pour aider à la sensibilisation, pour accompagner le gouvernement dans la mise en œuvre de la stratégie qu’il a définie", a-t-elle affirmé en outre.
(AIP)
kg/kam