Abidjan (Côte d’Ivoire) - La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou a condamné, mercredi, l’attaque du siège du quartier général du Front populaire ivoirien (FPI), parti de Laurent Gbagbo.
«C'est une évidence pour moi, que je vienne ce matin pour déplorer ce qui s'est passé et condamner ce qui est arrivé », a-t-elle dit lors d'une visite sur les lieux de l'attaque. La patronne de la mission onusienne espère par ailleurs, que cette attaque ne va pas détourner l'engagement des responsables du FPI à ressouder le tissu social.
« Je voudrais dire aux dirigeants du FPI que ces actes ne puissent pas les déranger dans cette volonté de réconciliation et d'aller à la paix », a ajouté Mme Mindaoudou en souhaitant que l'enquête ouverte sur cette affaire, puisse permettre que les « coupables soient condamnés ».
Un groupe d'une vingtaine de jeunes a saccagé lundi le siège du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, situé dans la commune de Cocody à l'Est d'Abidjan.
Le gouvernement ivoirien a condamné cette attaque armée, en annonçant l'ouverture d'une enquête pour rechercher les auteurs afin qu'ils «subissent la rigueur de la loi».
SB/ls/APA
«C'est une évidence pour moi, que je vienne ce matin pour déplorer ce qui s'est passé et condamner ce qui est arrivé », a-t-elle dit lors d'une visite sur les lieux de l'attaque. La patronne de la mission onusienne espère par ailleurs, que cette attaque ne va pas détourner l'engagement des responsables du FPI à ressouder le tissu social.
« Je voudrais dire aux dirigeants du FPI que ces actes ne puissent pas les déranger dans cette volonté de réconciliation et d'aller à la paix », a ajouté Mme Mindaoudou en souhaitant que l'enquête ouverte sur cette affaire, puisse permettre que les « coupables soient condamnés ».
Un groupe d'une vingtaine de jeunes a saccagé lundi le siège du Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, situé dans la commune de Cocody à l'Est d'Abidjan.
Le gouvernement ivoirien a condamné cette attaque armée, en annonçant l'ouverture d'une enquête pour rechercher les auteurs afin qu'ils «subissent la rigueur de la loi».
SB/ls/APA