Korhogo - Quelque 549 683 tonnes de noix de cajou ont été commercialisées au cours de la présente campagne en Côte d'Ivoire pour près de 120 milliards de francs CFA payés aux producteurs, a révélé, mercredi à Korhogo (Nord), le chef de l’antenne du Conseil du coton et de l’anacarde, Issouf Koné, lors d’un atelier-bilan de cette campagne.
Ces résultats "significatifs" découlent de la réforme opérée dans la filière coton/anacarde et la promulgation de la loi fixant les règles relatives à la commercialisation de ces produits, a précisé M. Koné, citant entre autres l’amélioration de la qualité de la noix de cajou avec pour grade moyen (47 à 48 IBS) contre 46,5 pour la campagne 2013, un taux d’humidité moyen de 9,05 et une meilleure maîtrise de la traçabilité et des statistiques de la production et de la commercialisation.
La région du Poro a commercialisé 33 006 tonnes en 2014 contre 12 000 tonnes en 2013, a-t-il indiqué, relevant que le taux d’humidité moyen est de 8,9 pour la région alors qu’au plan national, il est de 9,05. D'où l'exhortation du directeur régional de l’Agriculture de Korhogo aux producteurs de bien sécher et trier les noix de cajou.
Pour la campagne 2014, le prix plancher bord champ est de 225f/kg, en accord avec les différents acteurs de la filière.
Quelque 134 participants, notamment des membres du corps préfectoral de la région du Poro, des acheteurs, des producteurs de noix de cajou, des pisteurs et des transporteurs, ont pris part à cet atelier sur le thème "Bilan de la commercialisation de la noix de cajou 2014 et perspectives 2015".
La Côte d'Ivoire est premier producteur africain de noix de cajou avec une part de 47,82%. Le pays occupe également le deuxième rang mondial avec une part de 15,31% de la production mondiale, selon le Centre ivoirien de promotion des investissements (CEPICI) qui souligne que le marché international de l'amande est en constant accroissement.
(AIP)
apk/kkp/ask
Ces résultats "significatifs" découlent de la réforme opérée dans la filière coton/anacarde et la promulgation de la loi fixant les règles relatives à la commercialisation de ces produits, a précisé M. Koné, citant entre autres l’amélioration de la qualité de la noix de cajou avec pour grade moyen (47 à 48 IBS) contre 46,5 pour la campagne 2013, un taux d’humidité moyen de 9,05 et une meilleure maîtrise de la traçabilité et des statistiques de la production et de la commercialisation.
La région du Poro a commercialisé 33 006 tonnes en 2014 contre 12 000 tonnes en 2013, a-t-il indiqué, relevant que le taux d’humidité moyen est de 8,9 pour la région alors qu’au plan national, il est de 9,05. D'où l'exhortation du directeur régional de l’Agriculture de Korhogo aux producteurs de bien sécher et trier les noix de cajou.
Pour la campagne 2014, le prix plancher bord champ est de 225f/kg, en accord avec les différents acteurs de la filière.
Quelque 134 participants, notamment des membres du corps préfectoral de la région du Poro, des acheteurs, des producteurs de noix de cajou, des pisteurs et des transporteurs, ont pris part à cet atelier sur le thème "Bilan de la commercialisation de la noix de cajou 2014 et perspectives 2015".
La Côte d'Ivoire est premier producteur africain de noix de cajou avec une part de 47,82%. Le pays occupe également le deuxième rang mondial avec une part de 15,31% de la production mondiale, selon le Centre ivoirien de promotion des investissements (CEPICI) qui souligne que le marché international de l'amande est en constant accroissement.
(AIP)
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