Abidjan - Le président de la Coordination des syndicats du ministère de l’Economie et des Finances de Côte d’Ivoire (COSYMEFCI), Ouattara Karim, a affirmé vendredi qu’ils repartent rassurés, au terme d’un échange avec le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, portant sur les revendications et les causes de leur mot d’ordre de grève de 72 heures suivie par les régies financières à Abidjan et à l’intérieur du pays, mardi.
« Nous repartons rassurés. Nous avons rencontré le Premier ministre pour lui expliquer le pourquoi de notre mot de grève, les causes de ce malaise.(…) Ce mot d’ordre de grève émanait d’un certain nombre de frustrations. Les véritables travaux portant sur nos revendications démarrent mardi prochain.(…) Le Premier ministre a donné des instructions fermes pour que nous travaillions dans de bonnes conditions et que les soldats de l’économie que nous sommes participions à l’émergence de la Côte d’Ivoire », a affirmé M. Karim.
Il a fait savoir par ailleurs que jusqu’au 31 octobre, l’ensemble de leurs revendications d’ordre institutionnel et professionnel sera étudiée en profondeur par le chef de gouvernement.
La COSYMEFCI a déposé depuis plus d’un an une plateforme revendicative auprès de son ministère de tutelle. En fin août dernier, toutes les organisations syndicales composant cette structure ont déposé un préavis de grève qui décidait d’un arrêt collectif de travail de trois jours dans tous les services publics relevant du ministère de l’Economie, des Finances et du Budget les 9, 10 et 11 septembre.
Cette grève, suivie mardi, a été suspendue au terme d’un accord trouvé entre le gouvernement et la COSYMEFCI.
Les revendications des grévistes portaient sur l’amélioration de leurs conditions de travail, l’intégration des contractuels totalisant plusieurs années de service à la Fonction publique et l’amélioration de leur pension de retraite.
« Nous repartons rassurés. Nous avons rencontré le Premier ministre pour lui expliquer le pourquoi de notre mot de grève, les causes de ce malaise.(…) Ce mot d’ordre de grève émanait d’un certain nombre de frustrations. Les véritables travaux portant sur nos revendications démarrent mardi prochain.(…) Le Premier ministre a donné des instructions fermes pour que nous travaillions dans de bonnes conditions et que les soldats de l’économie que nous sommes participions à l’émergence de la Côte d’Ivoire », a affirmé M. Karim.
Il a fait savoir par ailleurs que jusqu’au 31 octobre, l’ensemble de leurs revendications d’ordre institutionnel et professionnel sera étudiée en profondeur par le chef de gouvernement.
La COSYMEFCI a déposé depuis plus d’un an une plateforme revendicative auprès de son ministère de tutelle. En fin août dernier, toutes les organisations syndicales composant cette structure ont déposé un préavis de grève qui décidait d’un arrêt collectif de travail de trois jours dans tous les services publics relevant du ministère de l’Economie, des Finances et du Budget les 9, 10 et 11 septembre.
Cette grève, suivie mardi, a été suspendue au terme d’un accord trouvé entre le gouvernement et la COSYMEFCI.
Les revendications des grévistes portaient sur l’amélioration de leurs conditions de travail, l’intégration des contractuels totalisant plusieurs années de service à la Fonction publique et l’amélioration de leur pension de retraite.