La hausse des prix de plusieurs produits alimentaires est moins importante au Sénégal qu’en Côte d’Ivoire, selon une étude menée à la demande du ministère sénégalais du Commerce et publiée mardi à Dakar.
"L’étude montre que la situation du Sénégal, en ce qui concerne la hausse des prix, est meilleure que celle de la Côte d’Ivoire", a dit Jean Pierre Sacaze, responsable de commerce et de gouvernance, à la Délégation de l’Union européenne au Sénégal.
Autrement dit, selon M. Sacaze, qui cite l’étude, les prix des produits de consommation courante coûtent moins cher au Sénégal qu’en Côte d’Ivoire, deux pays où ils sont en hausse depuis la crise alimentaire de 2008.
Il s’exprimait lors de la réunion de présentation de l’étude menée dans les deux pays et intitulée : "Circuits de distribution des produits de consommation courante au Sénégal’’.
Le ministère sénégalais du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des produits locaux et des PME, explique que les informations collectées l’ont été dans "une ville secondaire" et en "zone rurale", en Côte d’Ivoire comme au Sénégal.
Il estime que l’étude lui a permis de comprendre le fonctionnement des filières (vente au détail ou en gros) et d’"identifier les points" à améliorer, en vue d’un écoulement des produits concernés à leur juste prix.
La Délégation de l’Union européenne au Sénégal a collaboré à la réalisation de cette étude concernant une dizaine de produits : le riz, l’huile, le sucre, le lait en poudre, le pain, l’oignon, la carotte, la tomate industriellement transformée et le savon de ménage.
Citant encore les conclusions de l’étude, Jean Pierre Sacaze estime que "la capacité de suivi des marchés et des prix par l’administration devrait (…) être renforcée, afin d’améliorer la qualité du dialogue entre les partenaires économiques, y compris les associations de consommateurs".
Le ministre du Commerce Alioune Sarr affirme, pour sa part, que le but visé à travers cette recherche est d’arriver à ce que "les prix soient acceptables par le gouvernement et les consommateurs", en étant à la fois conformes aux "engagements" pris par le Sénégal avec ses partenaires économiques de la sous-région.
L’étude permettra aux "consommateurs sénégalais [de] disposer des meilleurs prix" des produits concernés.
Selon lui, le ministère du Commerce souhaite "pérenniser" les études comme celle-là et les "inscrire dans la durée". "Les résultats issus de cette étude vont nous permettre de poursuivre les travaux que nous sommes en train de mener."
Le gouvernement va réformer "la loi sur les prix et la concurrence", a par ailleurs annoncé M. Sarr.
"L’étude montre que la situation du Sénégal, en ce qui concerne la hausse des prix, est meilleure que celle de la Côte d’Ivoire", a dit Jean Pierre Sacaze, responsable de commerce et de gouvernance, à la Délégation de l’Union européenne au Sénégal.
Autrement dit, selon M. Sacaze, qui cite l’étude, les prix des produits de consommation courante coûtent moins cher au Sénégal qu’en Côte d’Ivoire, deux pays où ils sont en hausse depuis la crise alimentaire de 2008.
Il s’exprimait lors de la réunion de présentation de l’étude menée dans les deux pays et intitulée : "Circuits de distribution des produits de consommation courante au Sénégal’’.
Le ministère sénégalais du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, de la Promotion des produits locaux et des PME, explique que les informations collectées l’ont été dans "une ville secondaire" et en "zone rurale", en Côte d’Ivoire comme au Sénégal.
Il estime que l’étude lui a permis de comprendre le fonctionnement des filières (vente au détail ou en gros) et d’"identifier les points" à améliorer, en vue d’un écoulement des produits concernés à leur juste prix.
La Délégation de l’Union européenne au Sénégal a collaboré à la réalisation de cette étude concernant une dizaine de produits : le riz, l’huile, le sucre, le lait en poudre, le pain, l’oignon, la carotte, la tomate industriellement transformée et le savon de ménage.
Citant encore les conclusions de l’étude, Jean Pierre Sacaze estime que "la capacité de suivi des marchés et des prix par l’administration devrait (…) être renforcée, afin d’améliorer la qualité du dialogue entre les partenaires économiques, y compris les associations de consommateurs".
Le ministre du Commerce Alioune Sarr affirme, pour sa part, que le but visé à travers cette recherche est d’arriver à ce que "les prix soient acceptables par le gouvernement et les consommateurs", en étant à la fois conformes aux "engagements" pris par le Sénégal avec ses partenaires économiques de la sous-région.
L’étude permettra aux "consommateurs sénégalais [de] disposer des meilleurs prix" des produits concernés.
Selon lui, le ministère du Commerce souhaite "pérenniser" les études comme celle-là et les "inscrire dans la durée". "Les résultats issus de cette étude vont nous permettre de poursuivre les travaux que nous sommes en train de mener."
Le gouvernement va réformer "la loi sur les prix et la concurrence", a par ailleurs annoncé M. Sarr.