La directrice Côte d’Ivoire de la multinationale israélienne, LR Group, Dahan Liora, a demandé aux conseillers régionaux de San Pedro d’encourager les populations à cultiver le café et le cacao parce que la demande sera forte dans un proche avenir, contrairement à l’hévéaculture vers laquelle de plus en plus de personnes se tournent.
"Contrairement au caoutchouc et à l’hévéa dont la demande a baissé au niveau mondial à cause de la pollution de l’environnement, parce que les pneus polluent, le café et le cacao continueront à être l’avenir de la Côte d’Ivoire", a déclaré Dahan Liora aux conseillers régionaux de San Pedro avec qui elle échangeait sur les opportunités agricoles de la région.
Selon l’opératrice économique israélienne, les récentes analyses des grands colloques internationaux dans le domaine du café et du cacao révèlent qu’il va y avoir un manque à gagner dans les 20 à 50 années à venir parce que aujourd’hui, au niveau de la population, la couche moyenne asiatique a un pouvoir d’achat et a commencé à consommer le chocolat, à boire du chocolat et du café".
Mme Dahan a expliqué que "quand les couches moyennes asiatiques se mettent à des goûts occidentaux, c’est l’économie internationale de marché qui change, ce sont des demandes énormes qui viennent chez tous les producteurs mondiaux dans ce domaine-là".
Elle a noté que la couche moyenne asiatique boit du café soluble. Or, précise Mme Dahan, ce café est fait à partir du Robusta que l’on cultive sur les montagnes de Man. "La caféiculture est donc un secteur d’avenir pour la Côte d’Ivoire. Il ne faut pas avoir peur d’y être et d’y investir", a insisté la directrice de LR Group.
Selon elle, le défi à venir est le même pour le cacao parce que les grands producteurs mondiaux de chocolat ont un important souci sur le manque de cacao au cours des années à venir.
"Le défi pour la Côte d’Ivoire, c’est de sortir de chaque hectare plus de cacao, de passer de 500 kg à l’hectare à 3 ou 4 tonnes par hectare", a conclu l’hôte des conseillers régionaux de San Pedro.
La Côte d’Ivoire est le premier pays producteur de cacao depuis des décennies, avec actuellement une production annuelle d’environ 1,3 million de tonnes.
jmk/kkp/kam
"Contrairement au caoutchouc et à l’hévéa dont la demande a baissé au niveau mondial à cause de la pollution de l’environnement, parce que les pneus polluent, le café et le cacao continueront à être l’avenir de la Côte d’Ivoire", a déclaré Dahan Liora aux conseillers régionaux de San Pedro avec qui elle échangeait sur les opportunités agricoles de la région.
Selon l’opératrice économique israélienne, les récentes analyses des grands colloques internationaux dans le domaine du café et du cacao révèlent qu’il va y avoir un manque à gagner dans les 20 à 50 années à venir parce que aujourd’hui, au niveau de la population, la couche moyenne asiatique a un pouvoir d’achat et a commencé à consommer le chocolat, à boire du chocolat et du café".
Mme Dahan a expliqué que "quand les couches moyennes asiatiques se mettent à des goûts occidentaux, c’est l’économie internationale de marché qui change, ce sont des demandes énormes qui viennent chez tous les producteurs mondiaux dans ce domaine-là".
Elle a noté que la couche moyenne asiatique boit du café soluble. Or, précise Mme Dahan, ce café est fait à partir du Robusta que l’on cultive sur les montagnes de Man. "La caféiculture est donc un secteur d’avenir pour la Côte d’Ivoire. Il ne faut pas avoir peur d’y être et d’y investir", a insisté la directrice de LR Group.
Selon elle, le défi à venir est le même pour le cacao parce que les grands producteurs mondiaux de chocolat ont un important souci sur le manque de cacao au cours des années à venir.
"Le défi pour la Côte d’Ivoire, c’est de sortir de chaque hectare plus de cacao, de passer de 500 kg à l’hectare à 3 ou 4 tonnes par hectare", a conclu l’hôte des conseillers régionaux de San Pedro.
La Côte d’Ivoire est le premier pays producteur de cacao depuis des décennies, avec actuellement une production annuelle d’environ 1,3 million de tonnes.
jmk/kkp/kam