Yamoussoukro - Un groupe de balayeuses de Yamoussoukro (centre région du Bélier), la capitale politique ivoirienne, observe ce mardi un mouvement de grève, pour réclamer à leur employeur huit mois d'arriérés de salaire.
'' Nos patrons nous doivent huit mois de salaire jamais versés'', a déclaré la porte-parole des grévistes, Kouamé Aya Véronique, à l’AIP, ajoutant qu'après un délai de deux semaines accordé à leur employeur, celui-ci continue de "faire la sourde oreille''.
''Voilà la rentrée et la fin des inscriptions (…). Nous sommes incapables d'inscrire nos enfants'', a fait remarquer dame Kouamé, déplorant les difficiles conditions de vie et de travail bientôt un an.
''Pour un salaire fixe de 45 000 FCFA, nous recevons parfois 35 000 FCFA ou 25 000 FCFA après des prélèvements non justifiés. Même en cas de permission, on nous coupe sur le salaire", a dénoncé la porte-parole des grévistes qui demande ''tout simplement'' que leur dû soit reversé avant la reprise du travail.
(AIP)
nam/kkp/kam
'' Nos patrons nous doivent huit mois de salaire jamais versés'', a déclaré la porte-parole des grévistes, Kouamé Aya Véronique, à l’AIP, ajoutant qu'après un délai de deux semaines accordé à leur employeur, celui-ci continue de "faire la sourde oreille''.
''Voilà la rentrée et la fin des inscriptions (…). Nous sommes incapables d'inscrire nos enfants'', a fait remarquer dame Kouamé, déplorant les difficiles conditions de vie et de travail bientôt un an.
''Pour un salaire fixe de 45 000 FCFA, nous recevons parfois 35 000 FCFA ou 25 000 FCFA après des prélèvements non justifiés. Même en cas de permission, on nous coupe sur le salaire", a dénoncé la porte-parole des grévistes qui demande ''tout simplement'' que leur dû soit reversé avant la reprise du travail.
(AIP)
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