À l’instar du Togo et de la Mauritanie, le Gouvernement ivoirien va lancer au mois de décembre 2014, une campagne de vaccination contre la méningite A dans le nord du pays. En prélude à cette opération, le ministère de la Santé et de la Lutte contre le SIDA a été mis en œuvre en collaboration avec l’UNICEF, un atelier international sur la gestion des rumeurs et la communication de crise, ce mercredi 1er octobre 2014 à Cocody.
L’objectif de ces assises est de renforcer en matière de gestion des rumeurs et d’éventuelles crises, les capacités des participants, à l’issue d’assurer la réussite de cette opération d’introduction du vaccin de la méningite A. Car, note le Directeur de l’Institut national de l’hygiène publique (INPH), M. Simplice Dégnan, au nom de son ministre de tutelle, « les expériences ont clairement montré que la réussite des activités de vaccination est étroitement liée à la mise en œuvre de stratégies de communication efficace ».
Il a appelé les participants à cet atelier, « à participer activement et de façon constructive » à ces travaux, afin qu’ils soient capables de gérer toutes rumeurs ou situation de crise qui pourraient entacher cette opération de vaccination.
Les participants composés des Directeurs généraux de la santé, de facilitateurs français, et d’invités venus du Togo et de la Mauritanie, vont bénéficier lors de ces travaux, de formations aussi bien théoriques que pratiques durant trois jours.
M. Simplice Dégnan a rappelé que le vaccin qui sera administré aux habitants du nord du pays a la particularité de durer dix ans, au lieu de trois ans auparavant.
L’objectif de ces assises est de renforcer en matière de gestion des rumeurs et d’éventuelles crises, les capacités des participants, à l’issue d’assurer la réussite de cette opération d’introduction du vaccin de la méningite A. Car, note le Directeur de l’Institut national de l’hygiène publique (INPH), M. Simplice Dégnan, au nom de son ministre de tutelle, « les expériences ont clairement montré que la réussite des activités de vaccination est étroitement liée à la mise en œuvre de stratégies de communication efficace ».
Il a appelé les participants à cet atelier, « à participer activement et de façon constructive » à ces travaux, afin qu’ils soient capables de gérer toutes rumeurs ou situation de crise qui pourraient entacher cette opération de vaccination.
Les participants composés des Directeurs généraux de la santé, de facilitateurs français, et d’invités venus du Togo et de la Mauritanie, vont bénéficier lors de ces travaux, de formations aussi bien théoriques que pratiques durant trois jours.
M. Simplice Dégnan a rappelé que le vaccin qui sera administré aux habitants du nord du pays a la particularité de durer dix ans, au lieu de trois ans auparavant.