Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit des "perspectives favorables" pour l’économie ivoirienne avec une croissance "aux alentours de 8%" en 2015, a indiqué jeudi à Abidjan son sous-directeur du département Afrique, Michel Lazare, à la fin d’une mission d’évaluation en Côte d’Ivoire.
"Pour 2015, la mission du FMI note des perspectives favorables avec une poursuite de la croissance attendue aux alentours de 8%", a déclaré Michel Lazare au sortir d’un entretien avec le président ivoirien Alassane Ouattara. "Nous y voyons une confirmation de l’élan de l’économie ivoirienne", a-t-il souligné.
Après des décennies de crise, l’économie de la Côte d’Ivoire se relance avec un taux de croissance estimée à 8,4% en 2013 et 8% en 2014.
Pour le chef de la mission du FMI, cette performance de l’économie ivoirienne devrait se traduire par des "effets positifs " pour les populations ivoiriennes.
"Une croissance forte signifie des emplois et la possibilité d’augmenter le pouvoir d’achat des Ivoiriens en particulier des fonctionnaires", a-t-il relevé.
Michel Lazare a noté "avec satisfaction" la volonté du gouvernement ivoirien de poursuivre les réformes engagées dans les domaines de l’amélioration du climat des affaires, de la restructuration du système financier, de la consolidation de la situation financière et du secteur de l’énergie.
"Le gouvernement s’y attèle et devrait continuer à concrétiser ces réformes dans les mois qui viennent", a-t-il conclu.
"Pour 2015, la mission du FMI note des perspectives favorables avec une poursuite de la croissance attendue aux alentours de 8%", a déclaré Michel Lazare au sortir d’un entretien avec le président ivoirien Alassane Ouattara. "Nous y voyons une confirmation de l’élan de l’économie ivoirienne", a-t-il souligné.
Après des décennies de crise, l’économie de la Côte d’Ivoire se relance avec un taux de croissance estimée à 8,4% en 2013 et 8% en 2014.
Pour le chef de la mission du FMI, cette performance de l’économie ivoirienne devrait se traduire par des "effets positifs " pour les populations ivoiriennes.
"Une croissance forte signifie des emplois et la possibilité d’augmenter le pouvoir d’achat des Ivoiriens en particulier des fonctionnaires", a-t-il relevé.
Michel Lazare a noté "avec satisfaction" la volonté du gouvernement ivoirien de poursuivre les réformes engagées dans les domaines de l’amélioration du climat des affaires, de la restructuration du système financier, de la consolidation de la situation financière et du secteur de l’énergie.
"Le gouvernement s’y attèle et devrait continuer à concrétiser ces réformes dans les mois qui viennent", a-t-il conclu.