Le Groupe de travail de l’Onu sur l’utilisation des mercenaires entame mardi à Abidjan une visite de quatre jours pour "examiner et évaluer l’impact du mercenariat" sur les droits de de l’homme en Côte d’Ivoire.
"La Côte d’Ivoire a fait face à d’énormes défis au tournant du siècle et connu des conflits civils qui impliqueraient des activités liées au mercenariat", a déclaré l’experte des droits humains, Patricia Arias, qui dirige actuellement le groupe d’experts, dans un communiqué transmis à Xinhua lundi.
Plusieurs sources font état de la participation de mercenaires venus du Liberia voisin aux violences post-électorales de 2010-2011 qui ont fait au moins 3 000 morts en Côte d’Ivoire.
Selon le communiqué, c’est "la première visite officielle" en Côte d’Ivoire de Mme Arias qui sera accompagnée par Anton Katz, autre membre du Groupe de travail, "à l’invitation des autorités ivoiriennes".
Au cours de son séjour à Abidjan, la délégation onusienne rencontrera des membres des branches exécutive, législative et judiciaire de l’Etat, des responsables des Forces armées, des représentants de la communauté diplomatique et de la société civile.
Dans le cadre de son mandat donné par le Conseil des droits de l’homme de l’Onu, le Groupe de travail "examinera également la situation des entreprises militaires et de sécurité privées (EMSP) et la manière dont elles fonctionnent dans le pays", ajoute le communiqué.
La Côte d’Ivoire fait partie des pays couverts cette année par le rapport du Groupe de travail au Conseil des droits de l’homme qui a porté sur la législation nationale concernant les entreprises militaires et de sécurité privées dans plusieurs pays d’Asie et d’Afrique.
Au terme de sa visite, le Groupe de travail doit produire un rapport final qui sera présenté au Conseil des droits de l’homme de l’Onu en septembre 2015.
"La Côte d’Ivoire a fait face à d’énormes défis au tournant du siècle et connu des conflits civils qui impliqueraient des activités liées au mercenariat", a déclaré l’experte des droits humains, Patricia Arias, qui dirige actuellement le groupe d’experts, dans un communiqué transmis à Xinhua lundi.
Plusieurs sources font état de la participation de mercenaires venus du Liberia voisin aux violences post-électorales de 2010-2011 qui ont fait au moins 3 000 morts en Côte d’Ivoire.
Selon le communiqué, c’est "la première visite officielle" en Côte d’Ivoire de Mme Arias qui sera accompagnée par Anton Katz, autre membre du Groupe de travail, "à l’invitation des autorités ivoiriennes".
Au cours de son séjour à Abidjan, la délégation onusienne rencontrera des membres des branches exécutive, législative et judiciaire de l’Etat, des responsables des Forces armées, des représentants de la communauté diplomatique et de la société civile.
Dans le cadre de son mandat donné par le Conseil des droits de l’homme de l’Onu, le Groupe de travail "examinera également la situation des entreprises militaires et de sécurité privées (EMSP) et la manière dont elles fonctionnent dans le pays", ajoute le communiqué.
La Côte d’Ivoire fait partie des pays couverts cette année par le rapport du Groupe de travail au Conseil des droits de l’homme qui a porté sur la législation nationale concernant les entreprises militaires et de sécurité privées dans plusieurs pays d’Asie et d’Afrique.
Au terme de sa visite, le Groupe de travail doit produire un rapport final qui sera présenté au Conseil des droits de l’homme de l’Onu en septembre 2015.