Daloa - Une délégation de l’APROMAC (Association des producteurs de caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire, a présenté vendredi, aux acteurs de la filière hévéicole de la région du Haut Sassandra la nécessité pour chaque exploitant d’avoir un certificat foncier.
Le Vice-président de l’APROMAC, Honest Wadjas, à la tête d'une délégation, a expliqué aux planteurs de cette région, le processus d’obtention du certificat foncier et a encouragé les producteurs à l'acquérir dans un délai raisonnable en payant les frais d’établissement.
Ces frais ont été nettement revus à la baisse, selon lui, suite à des négociations avec le ministère de l’Agriculture sur la base du chemin parcouru par la faîtière qui a réalisé, il y a deux ans, l’identification des planteurs ainsi que la géo-localisation de leurs exploitations.
Pour une exploitation de cinq hectares, qui devrait revenir à près de 700.000 FCFA, le planteur d’hévéa ne paie aujourd’hui que 286.000 FCFA pour obtenir son certificat foncier.
Il s'agit donc d'emmener les 130.000 planteurs identifiés sur une population de 150.000 acteurs de la filière à être en phase avec la loi sur le foncier rural, en s’inscrivant dans les démarches arrêtées par la loi, afin d'obtenir le certificat foncier qui sécurise les exploitations.
Les formalités pour l'acquisition du certificat foncier consistent à se faire enregistrer auprès de la commission foncière villageoise qui transmet le dossier à la sous-préfecture puis à la préfecture pour la signature et la délivrance du certificat.
(AIP)
yy/ask
Le Vice-président de l’APROMAC, Honest Wadjas, à la tête d'une délégation, a expliqué aux planteurs de cette région, le processus d’obtention du certificat foncier et a encouragé les producteurs à l'acquérir dans un délai raisonnable en payant les frais d’établissement.
Ces frais ont été nettement revus à la baisse, selon lui, suite à des négociations avec le ministère de l’Agriculture sur la base du chemin parcouru par la faîtière qui a réalisé, il y a deux ans, l’identification des planteurs ainsi que la géo-localisation de leurs exploitations.
Pour une exploitation de cinq hectares, qui devrait revenir à près de 700.000 FCFA, le planteur d’hévéa ne paie aujourd’hui que 286.000 FCFA pour obtenir son certificat foncier.
Il s'agit donc d'emmener les 130.000 planteurs identifiés sur une population de 150.000 acteurs de la filière à être en phase avec la loi sur le foncier rural, en s’inscrivant dans les démarches arrêtées par la loi, afin d'obtenir le certificat foncier qui sécurise les exploitations.
Les formalités pour l'acquisition du certificat foncier consistent à se faire enregistrer auprès de la commission foncière villageoise qui transmet le dossier à la sous-préfecture puis à la préfecture pour la signature et la délivrance du certificat.
(AIP)
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