Abidjan - La présidente de la transition centrafricaine, Catherine Samba-Panza, entame mardi une série de rencontres avec les "forces vives de la Nation", dans le but de mettre fin au désordre que connaît le pays.
L’annonce a été faite dimanche soir par le Premier ministre Mahamat Kamoun. Selon le programme diffusé à la radio d'Etat, Mme Samba Panza va rencontrer toute la semaine des délégations pendant une demi-heure chacune, chaque jour à 10h00 (09h00 GMT) de mardi à vendredi.
Mme Samba Panza va "engager une série de rencontres avec l'ensemble des forces vives de la Nation afin de réaffirmer sa volonté de conduire la transition dans un climat apaisé et sa détermination à conclure dans les meilleurs délais cette parenthèse de l'histoire politique de notre pays par l'organisation d'élections", avait annoncé le chef du gouvernement, appelant ses concitoyens à reprendre des activités normales après cinq jours de violences à Bangui.
Ces violences qui ont éclaté le 07 octobre ont fait au moins 10 morts, de nombreux blessés et des milliers de déplacés. Un timide retour à la normale était constaté lundi à Bangui, où les conducteurs de bus et taxis ont repris leurs activités, même si des barricades leur interdisaient certaines avenues.
En réaction à des meurtres attribués à des musulmans, des barricades avaient été érigées par des individus se réclamant des anti-balaka, des milices majoritairement chrétiennes, dans les quartiers nord puis dans le centre-ville de la capitale centrafricaine.
cmas
L’annonce a été faite dimanche soir par le Premier ministre Mahamat Kamoun. Selon le programme diffusé à la radio d'Etat, Mme Samba Panza va rencontrer toute la semaine des délégations pendant une demi-heure chacune, chaque jour à 10h00 (09h00 GMT) de mardi à vendredi.
Mme Samba Panza va "engager une série de rencontres avec l'ensemble des forces vives de la Nation afin de réaffirmer sa volonté de conduire la transition dans un climat apaisé et sa détermination à conclure dans les meilleurs délais cette parenthèse de l'histoire politique de notre pays par l'organisation d'élections", avait annoncé le chef du gouvernement, appelant ses concitoyens à reprendre des activités normales après cinq jours de violences à Bangui.
Ces violences qui ont éclaté le 07 octobre ont fait au moins 10 morts, de nombreux blessés et des milliers de déplacés. Un timide retour à la normale était constaté lundi à Bangui, où les conducteurs de bus et taxis ont repris leurs activités, même si des barricades leur interdisaient certaines avenues.
En réaction à des meurtres attribués à des musulmans, des barricades avaient été érigées par des individus se réclamant des anti-balaka, des milices majoritairement chrétiennes, dans les quartiers nord puis dans le centre-ville de la capitale centrafricaine.
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