Abidjan - Le procès de Simone Gbagbo, l’épouse de l'ex-président Laurent Gbagbo, inculpée entre autres pour atteinte à la sûreté de l’Etat, débutera le 22 octobre devant la Cour d’assises d’Abidjan, selon l'un de ses avocats, Me Hervé Gouaméné.
Arrêtée le 11 avril 2011 en compagnie de son mari, puis détenue à Odienné (Nord-ouest), Simone Gbagbo est aussi sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) qui l’accuse de crimes contre l’humanité.
Toutefois, la Côte d’Ivoire ne veut pas accéder à cette demande, avançant que le système judiciaire est en mesure d’organiser son procès de manière équitable.
« Simone Gbagbo et les autres prévenus dont une partie bénéficie de la liberté provisoire sont convoqués devant la Cour d’assise le 22 octobre prochain », a affirmé Me Gouaméné.
Cette date figure sur l’ordonnance de renvoi délivrée par le parquet général, a confirmé Mathurin Dirabou, le doyen des avocats d’Abidjan qui défend Gilbert Aké N’Gbo, le dernier Premier ministre de Laurent Gbagbo, actuellement en liberté provisoire.
Simone Gbagbo, 65 ans, sera jugée en Côte d’Ivoire quand son époux est incarcéré depuis plus de deux ans à la CPI, à la Haye, rappelle-t-on.
(AIP)
tad/kkp/ask
Arrêtée le 11 avril 2011 en compagnie de son mari, puis détenue à Odienné (Nord-ouest), Simone Gbagbo est aussi sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) qui l’accuse de crimes contre l’humanité.
Toutefois, la Côte d’Ivoire ne veut pas accéder à cette demande, avançant que le système judiciaire est en mesure d’organiser son procès de manière équitable.
« Simone Gbagbo et les autres prévenus dont une partie bénéficie de la liberté provisoire sont convoqués devant la Cour d’assise le 22 octobre prochain », a affirmé Me Gouaméné.
Cette date figure sur l’ordonnance de renvoi délivrée par le parquet général, a confirmé Mathurin Dirabou, le doyen des avocats d’Abidjan qui défend Gilbert Aké N’Gbo, le dernier Premier ministre de Laurent Gbagbo, actuellement en liberté provisoire.
Simone Gbagbo, 65 ans, sera jugée en Côte d’Ivoire quand son époux est incarcéré depuis plus de deux ans à la CPI, à la Haye, rappelle-t-on.
(AIP)
tad/kkp/ask