Deux experts de l'ONU séjournent à Abidjan avec pour mission de renforcer les capacités du gouvernement ivoirien en apportant une assistance technique aux forces de sécurité pour lutter contre les violences sexuelles liées aux conflits.
La mission onusienne menée par Innocent Balembazahinda et Alison Hayes a eu lundi une séance de travail avec le ministère ivoirien de la Justice.
"Cette mission de l'ONU nous propose des offres de renforcement des capacités et d'assistance technique", a indiqué le directeur de cabinet du ministre de la Justice, Coulibaly Mohamed Vabé.
A en croire M. Vabé, le gouvernement ivoirien souhaite "faire du chemin avec ces experts pour juguler le phénomène des violences sexuelles en période de conflit".
Il est également important de "réussir à faire en sorte que, désormais, les violences sexuelles soient des infractions traitées sans tabou ni faiblesse", a-t-il ajouté.
Pour le chef de la délégation de l'ONU, Innocent Balembazahinda, la mission compte "apporter un appui technique et un renforcement des capacités aux Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, armée nationale) et à la police nationale à travers la mise en place de structures spécialisées pour traiter les différentes questions liées aux violences sexuelles".
A terme, "une augmentation des poursuites judiciaires, un renforcement des capacités d'enquêtes judiciaires de sorte à obtenir un nombre croissant de condamnations de violence sexuelle en Côte d'Ivoire seront perceptibles", a-t-il promis.
Les pays d'Afrique en conflit ou étant en situation post- conflit, dans lesquels les gouvernements doivent faire face à des défis concernant les violences sexuelles, bénéficient de cette assistance de la part de l'ONU.
La mission onusienne menée par Innocent Balembazahinda et Alison Hayes a eu lundi une séance de travail avec le ministère ivoirien de la Justice.
"Cette mission de l'ONU nous propose des offres de renforcement des capacités et d'assistance technique", a indiqué le directeur de cabinet du ministre de la Justice, Coulibaly Mohamed Vabé.
A en croire M. Vabé, le gouvernement ivoirien souhaite "faire du chemin avec ces experts pour juguler le phénomène des violences sexuelles en période de conflit".
Il est également important de "réussir à faire en sorte que, désormais, les violences sexuelles soient des infractions traitées sans tabou ni faiblesse", a-t-il ajouté.
Pour le chef de la délégation de l'ONU, Innocent Balembazahinda, la mission compte "apporter un appui technique et un renforcement des capacités aux Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, armée nationale) et à la police nationale à travers la mise en place de structures spécialisées pour traiter les différentes questions liées aux violences sexuelles".
A terme, "une augmentation des poursuites judiciaires, un renforcement des capacités d'enquêtes judiciaires de sorte à obtenir un nombre croissant de condamnations de violence sexuelle en Côte d'Ivoire seront perceptibles", a-t-il promis.
Les pays d'Afrique en conflit ou étant en situation post- conflit, dans lesquels les gouvernements doivent faire face à des défis concernant les violences sexuelles, bénéficient de cette assistance de la part de l'ONU.