Le Fonds Monétaire international (FMI) a prévu que l'économie de l'Afrique sub- saharienne augmenterait de 5% en 2014 et atteindrait environ 5,75 % en 2015.
Dans un rapport, le FMI a déclaré que les pays à faibles revenus connaîtront une croissance d'au moins 7% en 2014-2015.
D'après le rapport du FMI sur les Perspectives économiques régionales pour l'Afrique sub-saharienne, l'ensemble de la perspective positive est cependant terni par des poches de graves difficultés dans quelques pays.
"Cette image positive coexiste néanmoins avec la situation difficile en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, où, en plus du nombre insupportable de morts, de souffrances et de mises à l'écart sociales, l'épidémie d'Ebola a un lourd impact économique, avec des retombées économiques qui commencent à apparaître dans certains pays voisins", a expliqué le FMI.
La directrice du département Afrique du FMI, Antoinette Sayeh, a souligné que les tendances de forte croissance ces dernières années dans la région devraient continuer.
Mme Sayeh a expliqué que la croissance sera soutenue par les investissements publics dans les infrastructures, les secteurs des services et la production agricole.
Dans un rapport, le FMI a déclaré que les pays à faibles revenus connaîtront une croissance d'au moins 7% en 2014-2015.
D'après le rapport du FMI sur les Perspectives économiques régionales pour l'Afrique sub-saharienne, l'ensemble de la perspective positive est cependant terni par des poches de graves difficultés dans quelques pays.
"Cette image positive coexiste néanmoins avec la situation difficile en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone, où, en plus du nombre insupportable de morts, de souffrances et de mises à l'écart sociales, l'épidémie d'Ebola a un lourd impact économique, avec des retombées économiques qui commencent à apparaître dans certains pays voisins", a expliqué le FMI.
La directrice du département Afrique du FMI, Antoinette Sayeh, a souligné que les tendances de forte croissance ces dernières années dans la région devraient continuer.
Mme Sayeh a expliqué que la croissance sera soutenue par les investissements publics dans les infrastructures, les secteurs des services et la production agricole.