Le procès de Simone Gbagbo et de ses 82 co-accusés devait s'ouvrir le 22 octobre, mais a été reporté sine die. Impréparation de la justice ivoirienne ? Précipitation des autorités pour devancer la CPI ? Certains commencent à douter que le procès pour atteinte à la sûreté de l'État se tienne jamais.
Le 22 octobre, alors que le tout Abidjan n'attendait que l'ouverture du procès de Simone Gbagbo et de ses 82 autres co-accusés, le gouvernement annonçait le report sine die des audiences. En promettant cependant que le procès se tiendrait... bientôt. Mais le temps passe et l'enregistrement des prévenus tarde. Or, il faut deux semaines minimum après la fin de l'identification pour que les audiences puissent réellement débuter. Le "procès du siècle", comme on le... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le 22 octobre, alors que le tout Abidjan n'attendait que l'ouverture du procès de Simone Gbagbo et de ses 82 autres co-accusés, le gouvernement annonçait le report sine die des audiences. En promettant cependant que le procès se tiendrait... bientôt. Mais le temps passe et l'enregistrement des prévenus tarde. Or, il faut deux semaines minimum après la fin de l'identification pour que les audiences puissent réellement débuter. Le "procès du siècle", comme on le... suite de l'article sur Jeune Afrique