Le conseil de sécurité des Nations Unies a demandé mardi aux Etats membres de prendre des mesures pour éviter que les femmes et les filles réfugiées et déplacées ne soient soumises à la violence.
Dans une déclaration adoptée lors d'une réunion consacrée à la protection des femmes et des filles réfugiées et déplacées, les membres du conseil ont déclaré avoir conscience que ces femmes "courent davantage le risque d'être victimes de diverses formes de violation des droits de l'homme et d'atteinte à ces droits, et notamment d'actes de violence sexuelle et sexiste et de discrimination, qui peuvent se produire à divers stades du cycle de déplacement".
Le conseil a à nouveau affirmé que c'est aux Etats membres qu'il incombe au premier chef de protéger leur population.
Dans sa déclaration, le conseil de sécurité a demandé aux Etats membres "de prendre des mesures pour éviter que les femmes et les filles réfugiées et déplacées ne soient soumises à la violence". Il a demandé également aux Etats membres que, si ces femmes et filles sont victimes de violence, "elles aient davantage de moyens d'accès à la justice, ce qui comprend notamment la prompte ouverture d'une enquête, l'engagement de poursuites et l'imposition de sanctions à l'encontre des auteurs d'actes de violence sexuelle et sexiste, et la possibilité pour les victimes d'obtenir réparation".
Les membres du conseil de sécurité ont aussi demandé "à toutes les parties à des conflits armés de permettre aux réfugiées et aux déplacées d'avoir pleinement et librement accès à l'aide et à la protection humanitaires".
Le conseil de sécurité a réaffirmé son intention d'organiser en 2015 une réunion de haut niveau ayant pour objet de faire le point des progrès accomplis aux niveaux mondial, régional et national dans l'application de la résolution 1325.
Cette résolution, qui a été adoptée en 2000, est le premier document formel du conseil de sécurité qui impose aux différentes parties d'un conflit de respecter le droit des femmes et de soutenir leur participation aux négociations de paix et à la reconstruction post-conflit.
Dans une déclaration adoptée lors d'une réunion consacrée à la protection des femmes et des filles réfugiées et déplacées, les membres du conseil ont déclaré avoir conscience que ces femmes "courent davantage le risque d'être victimes de diverses formes de violation des droits de l'homme et d'atteinte à ces droits, et notamment d'actes de violence sexuelle et sexiste et de discrimination, qui peuvent se produire à divers stades du cycle de déplacement".
Le conseil a à nouveau affirmé que c'est aux Etats membres qu'il incombe au premier chef de protéger leur population.
Dans sa déclaration, le conseil de sécurité a demandé aux Etats membres "de prendre des mesures pour éviter que les femmes et les filles réfugiées et déplacées ne soient soumises à la violence". Il a demandé également aux Etats membres que, si ces femmes et filles sont victimes de violence, "elles aient davantage de moyens d'accès à la justice, ce qui comprend notamment la prompte ouverture d'une enquête, l'engagement de poursuites et l'imposition de sanctions à l'encontre des auteurs d'actes de violence sexuelle et sexiste, et la possibilité pour les victimes d'obtenir réparation".
Les membres du conseil de sécurité ont aussi demandé "à toutes les parties à des conflits armés de permettre aux réfugiées et aux déplacées d'avoir pleinement et librement accès à l'aide et à la protection humanitaires".
Le conseil de sécurité a réaffirmé son intention d'organiser en 2015 une réunion de haut niveau ayant pour objet de faire le point des progrès accomplis aux niveaux mondial, régional et national dans l'application de la résolution 1325.
Cette résolution, qui a été adoptée en 2000, est le premier document formel du conseil de sécurité qui impose aux différentes parties d'un conflit de respecter le droit des femmes et de soutenir leur participation aux négociations de paix et à la reconstruction post-conflit.